Avec une nouvelle motorisation, un design revigoré et des ambitions renouvelées, Faouzi Annajah et son entreprise NamX annoncent aujourd’hui un repositionnement stratégique, six mois après avoir présenté leur véhicule à hydrogène devant Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Le fait que NamX ait opté pour un moteur à combustion d’hydrogène au lieu des piles à combustible témoigne de sa capacité à s’adapter rapidement dans un marché naissant.
Comme la voiture électrique il y a une dizaine d’années, la voiture à hydrogène est aujourd’hui une technologie d’avant-garde. Les prévisions les plus optimistes tablent sur un décollage de ce marché d’ici 2030. D’où la nécessité, bien comprise par NamX, de se positionner correctement afin de prendre la vague à temps. L’objectif est que NamX devienne la Tesla de l’hydrogène dans quelques années.
Cette agilité devrait inspirer le Maroc dans sa stratégie de l’hydrogène vert. Le Royaume aspire à devenir l’un des leaders de la production et de l’exportation de ce gaz décarboné, qui deviendra indispensable à la transition énergétique mondiale au cours des prochaines décennies. Cette ambition est salutaire, puisqu’elle projette le pays dans l’avenir. Cependant, il faut rester à l’écoute des rapides évolutions de ce secteur.
Les procédés d’électrolyse deviennent de plus en plus efficaces, tandis que des chercheurs du monde entier explorent désormais plusieurs voies pour résoudre le défi du transport de l’hydrogène. Les récents accords signés entre le Maroc et les Émirats Arabes Unis démontrent que notre pays est capable de mobiliser les capitaux, notamment pour des projets de production de l’hydrogène vert et ses dérivés.
Il faut désormais passer à la vitesse supérieure, en investissant dans le domaine de la recherche. Comme pour toutes les technologies, celui qui innovera le premier dans le domaine de l’hydrogène vert aura une longueur d’avance sur ses concurrents. Alors que le Maroc souhaite développer sa marine marchande, pourquoi ne pas rêver demain d’une NamX maritime, produisant des navires à hydrogène ?
Comme la voiture électrique il y a une dizaine d’années, la voiture à hydrogène est aujourd’hui une technologie d’avant-garde. Les prévisions les plus optimistes tablent sur un décollage de ce marché d’ici 2030. D’où la nécessité, bien comprise par NamX, de se positionner correctement afin de prendre la vague à temps. L’objectif est que NamX devienne la Tesla de l’hydrogène dans quelques années.
Cette agilité devrait inspirer le Maroc dans sa stratégie de l’hydrogène vert. Le Royaume aspire à devenir l’un des leaders de la production et de l’exportation de ce gaz décarboné, qui deviendra indispensable à la transition énergétique mondiale au cours des prochaines décennies. Cette ambition est salutaire, puisqu’elle projette le pays dans l’avenir. Cependant, il faut rester à l’écoute des rapides évolutions de ce secteur.
Les procédés d’électrolyse deviennent de plus en plus efficaces, tandis que des chercheurs du monde entier explorent désormais plusieurs voies pour résoudre le défi du transport de l’hydrogène. Les récents accords signés entre le Maroc et les Émirats Arabes Unis démontrent que notre pays est capable de mobiliser les capitaux, notamment pour des projets de production de l’hydrogène vert et ses dérivés.
Il faut désormais passer à la vitesse supérieure, en investissant dans le domaine de la recherche. Comme pour toutes les technologies, celui qui innovera le premier dans le domaine de l’hydrogène vert aura une longueur d’avance sur ses concurrents. Alors que le Maroc souhaite développer sa marine marchande, pourquoi ne pas rêver demain d’une NamX maritime, produisant des navires à hydrogène ?
