Dans son dernier rapport sur le « Développement des technologies disruptives : opportunités et défis pour le Maroc », l’Institut Royal des Etudes Stratégiques a exposé les différentes opportunités que présente le digital pour le Maroc et son développement. Selon le rapport, la compétitivité digitale développera la compétitivité marocaine à l’échelle régionale et nationale en permettant la modernisation de plusieurs secteurs vitaux et productifs, tels que la santé, l’éducation, les industries, la logistique, …
Une mine d’opportunités
L’IRIS considère que le Royaume gagnerait à concevoir une stratégie digitale nationale à l’horizon 2035-2040, soutenue par un portage politique de haut niveau et inscrite dans la lignée des axes de son nouveau modèle de développement. La réussite de cette stratégie est, selon l’institut royal, tributaire d’une gouvernance efficiente, s’appuyant sur « une approche inclusive », avec l’implication de l’ensemble des acteurs concernés et une appropriation collective des enjeux inhérents à la digitalisation.
En effet, l’IRES affirme que dans un monde volatile, incertain, complexe et ambigu (VUCA), le Maroc devrait se préparer à l’émergence rapide de « technologies disruptives » qui constituent l’un des traits caractéristiques de « l’exponentialité » des évolutions et qui est en train de changer la donne à l’échelle mondiale.
Vers une future nation digitale
L’IRES plaide à travers son rapport pour une concrétisation du chantier de la transformation digitale et interpelle les décideurs marocains sur l’urgence d’améliorer les infrastructures et les technologies qui la supportent et de former les compétences humaines dans le domaine digital, indispensables à son accélération.
Le Royaume devrait insuffler aux acteurs concernés un changement radical d’état d’esprit et sauter les étapes, en se concentrant sur les technologies innovantes- clés à adopter et à développer. Pour ce faire, l’IRES propose de « se doter d’une véritable stratégie digitale nationale à long terme, dont la mise en oeuvre devrait impliquer tous les acteurs concernés : autorités publiques, secteur privé, société civile, universités et centres de recherche, … L’accent devrait être mis sur la révision de la réglementation digitale, l’investissement dans une nouvelle génération d’infrastructures numériques et l’édification des compétences humaines dans le domaine digital ».
Le Maroc gagnerait, par ailleurs, à conclure des partenariats avec les firmes internationales opérant dans les domaines des technologies disruptives et de la digitalisation, conclut le rapport.
Une mine d’opportunités
L’IRIS considère que le Royaume gagnerait à concevoir une stratégie digitale nationale à l’horizon 2035-2040, soutenue par un portage politique de haut niveau et inscrite dans la lignée des axes de son nouveau modèle de développement. La réussite de cette stratégie est, selon l’institut royal, tributaire d’une gouvernance efficiente, s’appuyant sur « une approche inclusive », avec l’implication de l’ensemble des acteurs concernés et une appropriation collective des enjeux inhérents à la digitalisation.
En effet, l’IRES affirme que dans un monde volatile, incertain, complexe et ambigu (VUCA), le Maroc devrait se préparer à l’émergence rapide de « technologies disruptives » qui constituent l’un des traits caractéristiques de « l’exponentialité » des évolutions et qui est en train de changer la donne à l’échelle mondiale.
Vers une future nation digitale
L’IRES plaide à travers son rapport pour une concrétisation du chantier de la transformation digitale et interpelle les décideurs marocains sur l’urgence d’améliorer les infrastructures et les technologies qui la supportent et de former les compétences humaines dans le domaine digital, indispensables à son accélération.
Le Royaume devrait insuffler aux acteurs concernés un changement radical d’état d’esprit et sauter les étapes, en se concentrant sur les technologies innovantes- clés à adopter et à développer. Pour ce faire, l’IRES propose de « se doter d’une véritable stratégie digitale nationale à long terme, dont la mise en oeuvre devrait impliquer tous les acteurs concernés : autorités publiques, secteur privé, société civile, universités et centres de recherche, … L’accent devrait être mis sur la révision de la réglementation digitale, l’investissement dans une nouvelle génération d’infrastructures numériques et l’édification des compétences humaines dans le domaine digital ».
Le Maroc gagnerait, par ailleurs, à conclure des partenariats avec les firmes internationales opérant dans les domaines des technologies disruptives et de la digitalisation, conclut le rapport.
Hiba CHAKER