Le Maroc se classe au premier rang des pays arabes et africains dans l’indice de transformation énergétique 2020 publié par le Forum économique mondial (WEF).
Dans son rapport sur la transition énergétique, qui compare 115 économies en fonction des performances actuelles de leurs systèmes énergétiques, le WEF classe le Royaume 51ème mondial sur 115 pays, et premier aux niveaux arabe et africain, avec un score de 56,5 points sur 100.
L’indice de transformation énergétique mesure la performance des pays liée aux systèmes énergétiques à travers les domaines du développement économique et de la croissance, de la durabilité environnementale, et de la sécurité énergétique…
En matière de performance énergétique, le Maroc obtient un score de 61%, alors qu’en matière de la préparation de la transition vers une énergie sûre et durable, il obtient un score de 51%. Bien que le Maroc se soit classé l’année dernière à la 47ème position, il a maintenu le leadership africain, arabe et maghrébin comme le meilleur modèle pour la transformation énergétique.
Au niveau arabe, la deuxième place revient au Qatar, suivi respectivement des Émirats Arabes Unis et d’Oman.
La Suède, toujours championne mondiale
Au niveau mondial, la Suède (1) est en tête de ce classement pour la troisième année consécutive, suivie de la Suisse (2) et de la Finlande (3). La France (8) et le Royaume-Uni (7) sont les seuls pays du G20 dans le top 10. Cependant, ils partagent des attributs communs, tels que la limitation des subventions énergétiques, la réduction de la dépendance aux importations (améliorant ainsi les besoins de sécurité émergents), la réalisation de gains en matière d’intensité énergétique du PIB et l’augmentation des engagements politiques à poursuivre des objectifs ambitieux de transition énergétique et de changement climatique.
Les centres de demande émergents tels que l’Inde (74ème ) et la Chine (78ème ) ont déployé des efforts constants pour rendre leur environnement plus propice à la transition énergétique, en travaillant sur les engagements politiques, l’engagement et l’investissement des consommateurs, l’innovation et les infrastructures, entre autres.
Dans le cas de la Chine, les rédacteurs dudit rapport estiment que les problèmes de pollution de l’air ont entraîné des politiques de contrôle des émissions, d’électrification des véhicules et de développement de la plus grande capacité au monde de panneaux solaires photovoltaïques et de centrales éoliennes terrestres.
Sans surprise, les États-Unis, se classent en dehors du top 10 pour la première fois, principalement en raison des perspectives réglementaires incertaines en faveur de la transition énergétique.
Dans son rapport sur la transition énergétique, qui compare 115 économies en fonction des performances actuelles de leurs systèmes énergétiques, le WEF classe le Royaume 51ème mondial sur 115 pays, et premier aux niveaux arabe et africain, avec un score de 56,5 points sur 100.
L’indice de transformation énergétique mesure la performance des pays liée aux systèmes énergétiques à travers les domaines du développement économique et de la croissance, de la durabilité environnementale, et de la sécurité énergétique…
En matière de performance énergétique, le Maroc obtient un score de 61%, alors qu’en matière de la préparation de la transition vers une énergie sûre et durable, il obtient un score de 51%. Bien que le Maroc se soit classé l’année dernière à la 47ème position, il a maintenu le leadership africain, arabe et maghrébin comme le meilleur modèle pour la transformation énergétique.
Au niveau arabe, la deuxième place revient au Qatar, suivi respectivement des Émirats Arabes Unis et d’Oman.
La Suède, toujours championne mondiale
Au niveau mondial, la Suède (1) est en tête de ce classement pour la troisième année consécutive, suivie de la Suisse (2) et de la Finlande (3). La France (8) et le Royaume-Uni (7) sont les seuls pays du G20 dans le top 10. Cependant, ils partagent des attributs communs, tels que la limitation des subventions énergétiques, la réduction de la dépendance aux importations (améliorant ainsi les besoins de sécurité émergents), la réalisation de gains en matière d’intensité énergétique du PIB et l’augmentation des engagements politiques à poursuivre des objectifs ambitieux de transition énergétique et de changement climatique.
Les centres de demande émergents tels que l’Inde (74ème ) et la Chine (78ème ) ont déployé des efforts constants pour rendre leur environnement plus propice à la transition énergétique, en travaillant sur les engagements politiques, l’engagement et l’investissement des consommateurs, l’innovation et les infrastructures, entre autres.
Dans le cas de la Chine, les rédacteurs dudit rapport estiment que les problèmes de pollution de l’air ont entraîné des politiques de contrôle des émissions, d’électrification des véhicules et de développement de la plus grande capacité au monde de panneaux solaires photovoltaïques et de centrales éoliennes terrestres.
Sans surprise, les États-Unis, se classent en dehors du top 10 pour la première fois, principalement en raison des perspectives réglementaires incertaines en faveur de la transition énergétique.
A. CHANNAJE