Pour ne pas perdre de terrain face à YouTube et TikTok, Instagram va donner la possibilité à des influenceurs de proposer des abonnements payants à leurs fans, un nouvel outil pour le réseau social pour ne pas perdre de terrain face aux concurrents.
Les créateurs « ont besoin de revenus prévisibles, et les abonnements sont l’un des meilleurs moyens d’avoir des revenus prévisibles, qui ne dépendent pas de l’audience qui varie d’une publication à une autre, inévitablement », a expliqué mercredi dans une vidéo Adam Mosseri, le patron de la plateforme qui appartient à Meta (Facebook).
Instagram va tester cette approche auprès d’une poignée d’influenceurs aux Etats-Unis. Leurs abonnés payants auront accès à des «stories» (les publications éphémères) et des «Lives» (vidéos en direct) exclusifs, et se distingueront des autres fans par un symbole violet à côté de leur nom, pour que les créateurs les identifient facilement dans les commentaires ou messages privés.
Les réseaux sociaux initialement gratuits - puisque leur modèle économique repose sur les recettes publicitaires - ont déployé ces dernières années différentes techniques de rémunération. Elles permettent aux professionnels des plateformes de diversifier leurs sources de revenus, au-delà du pourcentage publicitaire, des produits dérivés, contrats avec des marques et ventes de programmes éducatifs ou sportifs.
Sur TikTok, les spectateurs peuvent faire des dons, par exemple. Sur Twitch (plateforme de jeux vidéo) aussi, ils peuvent s’abonner à leurs joueurs favoris. Twitter leur a emboîté le pas avec des initiatives comme les abonnements payants à certains comptes ou la «Tip Jar» ou «boîte à pourboires». «Nous voulons aider les créateurs à transformer leur public en fans, et leurs fans en revenus», a indiqué en septembre dernier Esther Crawford, directrice des produits de monétisation chez Twitter.
«Nous voulons que Twitter soit le meilleur endroit pour les conversations des influenceurs avec leur audience». Par ailleurs, Adam Mosseri a précisé que ses équipes cherchent un moyen pour les créateurs «de pouvoir emmener leurs abonnés sur d’autres applications éditées par d’autres entreprises ».
Il est à rappeler que les autorités européennes et américaines de la concurrence appellent régulièrement les plateformes à faciliter la portabilité des données, c’est-à-dire la possibilité pour les utilisateurs d’emmener avec eux leurs contacts sur une autre application s’ils le désirent.
Les créateurs « ont besoin de revenus prévisibles, et les abonnements sont l’un des meilleurs moyens d’avoir des revenus prévisibles, qui ne dépendent pas de l’audience qui varie d’une publication à une autre, inévitablement », a expliqué mercredi dans une vidéo Adam Mosseri, le patron de la plateforme qui appartient à Meta (Facebook).
Instagram va tester cette approche auprès d’une poignée d’influenceurs aux Etats-Unis. Leurs abonnés payants auront accès à des «stories» (les publications éphémères) et des «Lives» (vidéos en direct) exclusifs, et se distingueront des autres fans par un symbole violet à côté de leur nom, pour que les créateurs les identifient facilement dans les commentaires ou messages privés.
Les réseaux sociaux initialement gratuits - puisque leur modèle économique repose sur les recettes publicitaires - ont déployé ces dernières années différentes techniques de rémunération. Elles permettent aux professionnels des plateformes de diversifier leurs sources de revenus, au-delà du pourcentage publicitaire, des produits dérivés, contrats avec des marques et ventes de programmes éducatifs ou sportifs.
Sur TikTok, les spectateurs peuvent faire des dons, par exemple. Sur Twitch (plateforme de jeux vidéo) aussi, ils peuvent s’abonner à leurs joueurs favoris. Twitter leur a emboîté le pas avec des initiatives comme les abonnements payants à certains comptes ou la «Tip Jar» ou «boîte à pourboires». «Nous voulons aider les créateurs à transformer leur public en fans, et leurs fans en revenus», a indiqué en septembre dernier Esther Crawford, directrice des produits de monétisation chez Twitter.
«Nous voulons que Twitter soit le meilleur endroit pour les conversations des influenceurs avec leur audience». Par ailleurs, Adam Mosseri a précisé que ses équipes cherchent un moyen pour les créateurs «de pouvoir emmener leurs abonnés sur d’autres applications éditées par d’autres entreprises ».
Il est à rappeler que les autorités européennes et américaines de la concurrence appellent régulièrement les plateformes à faciliter la portabilité des données, c’est-à-dire la possibilité pour les utilisateurs d’emmener avec eux leurs contacts sur une autre application s’ils le désirent.
Rime TAYBOUTA