Le 8 octobre 2021, SM le Roi Mohammed VI a adressé à la nation un discours appelant à « une nouvelle charte compétitive de l’investissement », qui irait de pair avec le train de réformes structurelles mises en œuvre, depuis plus de vingt ans, visant à ancrer l’économie nationale dans le sentier d’une croissance forte et inclusive. Très vite, l’Exécutif a mis le paquet pour mettre à disposition des investisseurs un terreau fertile pour faire tourner leurs capitaux.
Développement des zones d’activité industrielles, logistiques, commerciales et touristiques, valorisation des lots de terrain destinés aux projets d’investissements, coup de pouce nancier aux entrepreneurs via différents dispositifs… un packaging attractif pour encourager le secteur privé qui ne contribue que chichement aux investissements du pays - ne dépassant pas les 100 MMDH annuellement-, alors que la part de l’investissement public est estimée à 65%, contre 20% en moyenne mondiale.
C’est dans cette perspective que le Souverain a appelé le secteur privé, dans Son message aux participants à la 4ème édition du Forum pour l’Investissement en Afrique (AIF), qui se tient dans la cité ocre, à engager des « initiatives audacieuses et innovantes » pour une meilleure intégration dans les chaînes de valeur mondiales.
Car, aujourd’hui, le recours à la dette pour financer les politiques nationales devrait être la solution la moins envisageable, non seulement du fait de la morosité de la conjoncture qui agit sur les conditions d’emprunt, mais également suite aux tensions géopolitiques qui divisent le monde en blocs, à l’image des alliances de la guerre froide, dont les conséquences économiques se font toujours ressentir.
Fort de sa fiscalité soft, sa stabilité politique et ses mesures incitatives, le Maroc se profile désormais comme un eldorado pour les détenteurs de fonds. Investisseurs, remuez-vous avant qu’il ne soit trop tard !
Développement des zones d’activité industrielles, logistiques, commerciales et touristiques, valorisation des lots de terrain destinés aux projets d’investissements, coup de pouce nancier aux entrepreneurs via différents dispositifs… un packaging attractif pour encourager le secteur privé qui ne contribue que chichement aux investissements du pays - ne dépassant pas les 100 MMDH annuellement-, alors que la part de l’investissement public est estimée à 65%, contre 20% en moyenne mondiale.
C’est dans cette perspective que le Souverain a appelé le secteur privé, dans Son message aux participants à la 4ème édition du Forum pour l’Investissement en Afrique (AIF), qui se tient dans la cité ocre, à engager des « initiatives audacieuses et innovantes » pour une meilleure intégration dans les chaînes de valeur mondiales.
Car, aujourd’hui, le recours à la dette pour financer les politiques nationales devrait être la solution la moins envisageable, non seulement du fait de la morosité de la conjoncture qui agit sur les conditions d’emprunt, mais également suite aux tensions géopolitiques qui divisent le monde en blocs, à l’image des alliances de la guerre froide, dont les conséquences économiques se font toujours ressentir.
Fort de sa fiscalité soft, sa stabilité politique et ses mesures incitatives, le Maroc se profile désormais comme un eldorado pour les détenteurs de fonds. Investisseurs, remuez-vous avant qu’il ne soit trop tard !