Drôle et triste époque à la fois que nous vivons. Qui l’eut cru il y a quelques années à peine ! La France, grande puissance militaire et quatrième puissance économique mondiale, membre permanent du Conseil de Sécurité de l’ONU, est en train de vaciller sous les assauts d’une créature minuscule dénommée punaise de lit et que nous autres Marocains connaissons sous l’appellation générique de «Be9».
Cet insecte invasif, qui se reproduit à une vitesse fulgurante, a littéralement pris en otage la population française, particulièrement celle de Paris qui vit désormais dans la psychose d’un fléau tout droit sorti du Moyen-Age. Le grand hic, c’est que cette invasion survient à un très mauvais timing, à la veille de l’organisation dans la Ville Lumière des prochains Jeux Olympiques, Paris 2024. Soumise au joug d’un invité redoutable et tout aussi indésirable que le rat dont on connaît la prévalence parmi les dédales, les ruelles, les catacombes et les égouts de Paname, Paris, qui était surtout connue pour être la capitale mondiale de la mode, du glamour et du bon goût, a de quoi craindre pour sa superbe qui risque de se retrouver gravement entachée. Ce scénario catastrophe pourrait être pire dans le cas d’une coalition de circonstance entre rats et punaises en pleins JO qui replongerait la capitale française dans une ambiance cauchemardesque digne du fameux roman d’Albert Camus, «La Peste».
Mais trêve de moqueries, puisqu’un tel scénario est aussi improbable que non souhaitable en raison d’abord de la résidence en France d’une très importante communauté marocaine qui souffre autant des punaises, qu’elle ne souffrait des rats comme des racistes. Ensuite, parce que nous tenons à ce que les JO de Paris, où le Maroc sera représenté par une importante délégation d’athlètes et de sportifs dont notre équipe nationale de football des U23, se déroulent dans les meilleures conditions possibles. Et enfin, et surtout, parce que dans un monde aux allures de petit village, toute pandémie ou invasion qui commence, dans l’un ou l’autre pays, peut vite se propager et devenir une épidémie mondiale, comme on l’a vu lors du triste épisode du Coronavirus.
Qu’Allah nous en garde !
Cet insecte invasif, qui se reproduit à une vitesse fulgurante, a littéralement pris en otage la population française, particulièrement celle de Paris qui vit désormais dans la psychose d’un fléau tout droit sorti du Moyen-Age. Le grand hic, c’est que cette invasion survient à un très mauvais timing, à la veille de l’organisation dans la Ville Lumière des prochains Jeux Olympiques, Paris 2024. Soumise au joug d’un invité redoutable et tout aussi indésirable que le rat dont on connaît la prévalence parmi les dédales, les ruelles, les catacombes et les égouts de Paname, Paris, qui était surtout connue pour être la capitale mondiale de la mode, du glamour et du bon goût, a de quoi craindre pour sa superbe qui risque de se retrouver gravement entachée. Ce scénario catastrophe pourrait être pire dans le cas d’une coalition de circonstance entre rats et punaises en pleins JO qui replongerait la capitale française dans une ambiance cauchemardesque digne du fameux roman d’Albert Camus, «La Peste».
Mais trêve de moqueries, puisqu’un tel scénario est aussi improbable que non souhaitable en raison d’abord de la résidence en France d’une très importante communauté marocaine qui souffre autant des punaises, qu’elle ne souffrait des rats comme des racistes. Ensuite, parce que nous tenons à ce que les JO de Paris, où le Maroc sera représenté par une importante délégation d’athlètes et de sportifs dont notre équipe nationale de football des U23, se déroulent dans les meilleures conditions possibles. Et enfin, et surtout, parce que dans un monde aux allures de petit village, toute pandémie ou invasion qui commence, dans l’un ou l’autre pays, peut vite se propager et devenir une épidémie mondiale, comme on l’a vu lors du triste épisode du Coronavirus.
Qu’Allah nous en garde !
Hamid YAHYA
