« L'Espagne doit reconsidérer sa position sur le Sahara dans le nouveau contexte géopolitique, après la décision des Etats-Unis », a déclaré l’ancien ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Garcia Margallo, lors de son passage, mardi dernier, à l’émission Atalayar sur « Capital Radio »,
Le gouvernement espagnol a tourné le dos à l’évolution du contexte international suite à la décision américaine, a-t-il relevé, notant que Rabat et Washington entretiennent une relation très spéciale parce que le Royaume a été le premier pays à reconnaître les États-Unis d'Amérique. Lorsque le monde était divisé en deux, le grand allié des États-Unis était le Maroc, a-t-il rappelé.
La conjoncture géopolitique internationale a changé et le gouvernement de Pedro Sanchez n’arrive pas à tirer les leçons de ces mutations, a-t-il estimé, ajoutant que l’expression « référendum d’autodétermination » a disparu des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU depuis 2003.
En plus, a expliqué M. Margallo, le Maroc a retrouvé sa place au sein de l’Union Africaine et plusieurs pays arabes et africains ont ouvert des consulats dans les villes de Dakhla et Laayoune, alors que d'autres envisagent de le faire. «Quand les circonstances changent, on doit changer. Nous devons nous adapter au nouveau contexte. C'est un problème que nous devons résoudre», a-t-il conclu.
Le gouvernement espagnol a tourné le dos à l’évolution du contexte international suite à la décision américaine, a-t-il relevé, notant que Rabat et Washington entretiennent une relation très spéciale parce que le Royaume a été le premier pays à reconnaître les États-Unis d'Amérique. Lorsque le monde était divisé en deux, le grand allié des États-Unis était le Maroc, a-t-il rappelé.
La conjoncture géopolitique internationale a changé et le gouvernement de Pedro Sanchez n’arrive pas à tirer les leçons de ces mutations, a-t-il estimé, ajoutant que l’expression « référendum d’autodétermination » a disparu des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU depuis 2003.
En plus, a expliqué M. Margallo, le Maroc a retrouvé sa place au sein de l’Union Africaine et plusieurs pays arabes et africains ont ouvert des consulats dans les villes de Dakhla et Laayoune, alors que d'autres envisagent de le faire. «Quand les circonstances changent, on doit changer. Nous devons nous adapter au nouveau contexte. C'est un problème que nous devons résoudre», a-t-il conclu.