Enfin plus de clarté concernant la décision des autorités sanitaires marocaines de maintenir le protocole thérapeutique contre le covid-19, à base d'hydroxy-chloroquine institué par circulaire le 23 mars.
Interpellé à ce sujet par plusieurs députés présents lors de la réunion de la commission parlementaire des secteurs sociaux organisée jeudi 28 mai à partir de midi, le ministre de la santé Khalid Aït Taleb a officiellement confirmé le maintien de ce protocole en raison de ses nombreux bienfaits sur la courbe des guérisons, ainsi que son manque de dangerosité attesté selon lui par l'absence de décès liés à son usage.
A ce propos, le ministre de la santé a révélé que seulement deux cas de complications sérieuses ont été constatées chez des patients traités à l'hydroxy-chloroquine et qui étaient sous traitement d'autres substances. "En dehors de ces deux cas, aucun effet indésirable notable n'a été constaté", a déclaré Khalid Aït Taleb.
Ce dernier n'a pas caché son scepticisme quant à la polémique en cours concernant la supposée inefficacité et dangerosité de la chloroquine consécutive à la publication d'une étude de la revue médicale britannique "The lancet". Etude qui avait incité l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à suspendre ses essais cliniques à base de cette molécule partout dans le monde et poussé le gouvernement français à adopter un décret abrogeant celui qui avait autorisé son usage en France au début du mois d'avril.
Le ministre marocain a rappelé dans ce registre le prix dérisoire de la chloroquine qui est de 12 dirhams, suggérant sans le dire clairement de supposées manoeuvres commerciales et scientifiques occultes visant à décrédibiliser cette substance abordable qui a montré son efficacité au Maroc, au profit d'autres molécules plus coûteuses. "Comprenne qui pourra ! ", s'est exclamé à ce propos Khalid Aït Taleb allant dans le même sens des interrogations troublantes soulevées par le Professeur Didier Raoult, gourou incontesté de la chloroquine, lors d'une interview mardi.
Le ministre a enfin révélé que le Maroc s’était ravitaillé en matières premières nécessaires à la production locale d’hydroxy-chloroquine.
Interpellé à ce sujet par plusieurs députés présents lors de la réunion de la commission parlementaire des secteurs sociaux organisée jeudi 28 mai à partir de midi, le ministre de la santé Khalid Aït Taleb a officiellement confirmé le maintien de ce protocole en raison de ses nombreux bienfaits sur la courbe des guérisons, ainsi que son manque de dangerosité attesté selon lui par l'absence de décès liés à son usage.
A ce propos, le ministre de la santé a révélé que seulement deux cas de complications sérieuses ont été constatées chez des patients traités à l'hydroxy-chloroquine et qui étaient sous traitement d'autres substances. "En dehors de ces deux cas, aucun effet indésirable notable n'a été constaté", a déclaré Khalid Aït Taleb.
Ce dernier n'a pas caché son scepticisme quant à la polémique en cours concernant la supposée inefficacité et dangerosité de la chloroquine consécutive à la publication d'une étude de la revue médicale britannique "The lancet". Etude qui avait incité l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à suspendre ses essais cliniques à base de cette molécule partout dans le monde et poussé le gouvernement français à adopter un décret abrogeant celui qui avait autorisé son usage en France au début du mois d'avril.
Le ministre marocain a rappelé dans ce registre le prix dérisoire de la chloroquine qui est de 12 dirhams, suggérant sans le dire clairement de supposées manoeuvres commerciales et scientifiques occultes visant à décrédibiliser cette substance abordable qui a montré son efficacité au Maroc, au profit d'autres molécules plus coûteuses. "Comprenne qui pourra ! ", s'est exclamé à ce propos Khalid Aït Taleb allant dans le même sens des interrogations troublantes soulevées par le Professeur Didier Raoult, gourou incontesté de la chloroquine, lors d'une interview mardi.
Le ministre a enfin révélé que le Maroc s’était ravitaillé en matières premières nécessaires à la production locale d’hydroxy-chloroquine.