En ces temps de psychose mondiale, il est difficile d’échapper au diktat du sujet de l’heure : le Coronavirus. Des scènes de Marocains masqués comme des Japonais ou prenant d’assaut le «Djayji» du coin pour faire des stocks de protéines, inimaginables dans un passé récent, nous rapprochent jour après jour de ces ambiances noires de séries apocalyptiques et survivalistes à succès.
Croyez bien cher lecteur que nous autres journalistes essayons tant bien que mal de varier les sujets que l’on vous propose afin d’aborder d’autres thématiques que celle du Coronavirus dont nous nous sommes nous-mêmes déjà lassés. Mais l’actualité est là pour nous rappeler à l’ordre.
Celle-ci fait état de l’interdiction logique, au même titre que les festivals, des moussems et autres rassemblements religieux initialement épargnés par la circulaire du 5 mars. Les nouvelles nous disent aussi que l’Amérique de Trump a décidé de fermer ses frontières aux Européens comme à de «vulgaires clandestins mexicains». Et là, avouons notre coupable plaisir de voir nos voisins du Nord subir le même délit de faciès et de passeport dont on a toujours fait les frais. Comme ça nous fait plaisir d’apprendre que le misérable poste-frontière «Barrio Chino» de Mellilia spécialisé dans la contre-bande a été fermé hier par les Espagnols par crainte du Corona-virus.
L’autre motif d’espoir en cette journée est la décision sensée des autorités de se tourner vers un secteur sinistré par un autre mal, celui de la sécheresse. Il s’agit de l’élevage auquel un fonds de 55 millions de Dirhams vient d’être alloué. Comme quoi, il n’y a pas que le Coronavirus et il n’y a pas que des mauvaises nouvelles.
Croyez bien cher lecteur que nous autres journalistes essayons tant bien que mal de varier les sujets que l’on vous propose afin d’aborder d’autres thématiques que celle du Coronavirus dont nous nous sommes nous-mêmes déjà lassés. Mais l’actualité est là pour nous rappeler à l’ordre.
Celle-ci fait état de l’interdiction logique, au même titre que les festivals, des moussems et autres rassemblements religieux initialement épargnés par la circulaire du 5 mars. Les nouvelles nous disent aussi que l’Amérique de Trump a décidé de fermer ses frontières aux Européens comme à de «vulgaires clandestins mexicains». Et là, avouons notre coupable plaisir de voir nos voisins du Nord subir le même délit de faciès et de passeport dont on a toujours fait les frais. Comme ça nous fait plaisir d’apprendre que le misérable poste-frontière «Barrio Chino» de Mellilia spécialisé dans la contre-bande a été fermé hier par les Espagnols par crainte du Corona-virus.
L’autre motif d’espoir en cette journée est la décision sensée des autorités de se tourner vers un secteur sinistré par un autre mal, celui de la sécheresse. Il s’agit de l’élevage auquel un fonds de 55 millions de Dirhams vient d’être alloué. Comme quoi, il n’y a pas que le Coronavirus et il n’y a pas que des mauvaises nouvelles.
Majd EL ATOUABI