La vie est pleine de surprises, mais la surprise de cette année voire de ce début de siècle, reste cette maudite pandémie qui a paralysé toute la planète Terre. Même le pire des pessimistes ne prévoyait une telle situation qui a plongé le monde entier dans le chaos.
Parmi les secteurs qui ont été touchés de plein fouet par ce Covid-19, la presse en général et celle sur papier, en particulier. Seulement ni les cassandres, ni le virus ne savaient que les hommes de la presse sont prêts à faire face à toute éventualité dans ce métier à risques.
La preuve : Les journaux avec leurs diverses rubriques continuent à être édités avec la même cadence qu’avant la pandémie. Certes, la presse imprimée a changé de technique avec les nouvelles technologies en passant du papier au numérique, mais elle n’a pas perdu son charme ni sa rigueur professionnelle. Cette conjoncture a poussé le journaliste sportif, par exemple, à changer son fusil d’épaule en s’attaquant à d’autres sujets d’actualité loin de sa spécialité.
Devenant un journaliste « tout terrain », il n’a pas oublié d’assouvir la soif des lecteurs de l’actualité sportive en réalisant des interviews avec tous les acteurs sportifs, en présentant des nouvelles, des dossiers et des reportages se rapportant au sport et aux sportifs, en participant aux débats en visioconférence organisés par plusieurs fédérations sportives, en animant des émissions audiovisuelles.
Donc, pari gagné pour le journaliste sportif et toute la presse qui ont beaucoup appris de « l’école Covid-19 ». Et soyons sûrs que, après cette pandémie, on va tous mûrir.
Parmi les secteurs qui ont été touchés de plein fouet par ce Covid-19, la presse en général et celle sur papier, en particulier. Seulement ni les cassandres, ni le virus ne savaient que les hommes de la presse sont prêts à faire face à toute éventualité dans ce métier à risques.
La preuve : Les journaux avec leurs diverses rubriques continuent à être édités avec la même cadence qu’avant la pandémie. Certes, la presse imprimée a changé de technique avec les nouvelles technologies en passant du papier au numérique, mais elle n’a pas perdu son charme ni sa rigueur professionnelle. Cette conjoncture a poussé le journaliste sportif, par exemple, à changer son fusil d’épaule en s’attaquant à d’autres sujets d’actualité loin de sa spécialité.
Devenant un journaliste « tout terrain », il n’a pas oublié d’assouvir la soif des lecteurs de l’actualité sportive en réalisant des interviews avec tous les acteurs sportifs, en présentant des nouvelles, des dossiers et des reportages se rapportant au sport et aux sportifs, en participant aux débats en visioconférence organisés par plusieurs fédérations sportives, en animant des émissions audiovisuelles.
Donc, pari gagné pour le journaliste sportif et toute la presse qui ont beaucoup appris de « l’école Covid-19 ». Et soyons sûrs que, après cette pandémie, on va tous mûrir.
Hamid YAHYA