L’apparition du Coronavirus, puis son évolution en pandémie, a provoqué une psychose générale qui n’a épargné aucun pays. Au fur et à mesure des flashs infos, tout aussi inquiétants les uns que les autres, une paranoïa généralisée s’est emparée du monde. Le Maroc, pays ouvert et carrefour entre plusieurs continents, n’y a pas échappé.
Sous nos cieux et surtout dans nos villes, cette peur qui va de plus en plus crescendo commence à se faire ressentir à travers ces achats compulsifs de masques et autres produits sanitaires qui ont fini par provoquer une pénurie chez les pharmaciens.
Elle se ressent aussi dans les grandes surfaces du pays dont certaines ont déjà commencé à doubler leur approvisionnement en denrées de première nécessité pour parer à une très probable épidémie
de fièvre acheteuse chez les Marocains. Fort heureusement, le tableau n’est pas totalement gris. Car face à cette traînée de peur, une autre faite d’humour et de rire vient équilibrer la donne.
Sacrifiant au sacro-saint principe marocain de la dérision et de l’auto-dérision, nombreux sont nos concitoyens qui ont décidé de faire bon coeur contre mauvaise fortune et de soigner les effets du stress par une rirothérapie improvisée. Humour noir, humour vache ou même humour grivois, le Coronavirus est désormais cuisiné sur nos réseaux sociaux, sur nos terrasses de cafés ou en famille, à toutes les sauces. Et c’est tant mieux.
Rions donc de toutes nos dents et sacrifions à cette sagesse marocaine qui nous dit qu’il vaut mieux rire des soucis que d’en pleurer. Prions enfin qu’on rira bien et surtout qu’on rira les derniers.
Sous nos cieux et surtout dans nos villes, cette peur qui va de plus en plus crescendo commence à se faire ressentir à travers ces achats compulsifs de masques et autres produits sanitaires qui ont fini par provoquer une pénurie chez les pharmaciens.
Elle se ressent aussi dans les grandes surfaces du pays dont certaines ont déjà commencé à doubler leur approvisionnement en denrées de première nécessité pour parer à une très probable épidémie
de fièvre acheteuse chez les Marocains. Fort heureusement, le tableau n’est pas totalement gris. Car face à cette traînée de peur, une autre faite d’humour et de rire vient équilibrer la donne.
Sacrifiant au sacro-saint principe marocain de la dérision et de l’auto-dérision, nombreux sont nos concitoyens qui ont décidé de faire bon coeur contre mauvaise fortune et de soigner les effets du stress par une rirothérapie improvisée. Humour noir, humour vache ou même humour grivois, le Coronavirus est désormais cuisiné sur nos réseaux sociaux, sur nos terrasses de cafés ou en famille, à toutes les sauces. Et c’est tant mieux.
Rions donc de toutes nos dents et sacrifions à cette sagesse marocaine qui nous dit qu’il vaut mieux rire des soucis que d’en pleurer. Prions enfin qu’on rira bien et surtout qu’on rira les derniers.