La crise planétaire du Coronavirus que nous vivons actuellement impactera durablement l’avenir politique du pays. Sa gestion, bonne ou mauvaise, déterminera les chances de survie ou de trépas de l’actuelle majorité, mais également de toute la classe politique représentée par les élus locaux.
A une année des prochaines échéances électorales, législatives et communales, la réponse qui sera apportée à la multitude de problématiques sanitaires, économiques et sociales auxquelles nous sommes aujourd’hui confrontés aura des répercussions inéluctables au niveau des urnes.
Jusqu’à maintenant, force est de reconnaître que malgré certaines lenteurs, tergiversations et approximations, le Maroc semble bien réagir. En plus d’une communication transparente, rapide et intensive, des mesures sensées ont été prises comme celles de la fermeture des frontières et des écoles avec la mise en place d’un programme d’enseignement à distance.
Ce sont les résultats de ces mesures préventives sur le terrain qui écriront l’avenir politique du pays. Et dans ce registre, c’est la dimension sanitaire qui occupe les esprits. De quelles marges dispose notre pays pour gérer les probables effets d’une propagation de masse du Coronavirus alors qu’on connaît tous les limites de notre médecine publique, en matière de lits et de personnel ?
L’autre déterminant principal est d’ordre économique et sécuritaire. De quels moyens dispose-t-on pour contenir les effets économiques ravageurs sur l’emploi et la productivité si cette crise se prolonge dans le temps et, surtout, quel dispositif a-t-on prévu pour contrer les éventuels troubles à l’ordre public inhérents à ce genre de contextes ?
A une année des prochaines échéances électorales, législatives et communales, la réponse qui sera apportée à la multitude de problématiques sanitaires, économiques et sociales auxquelles nous sommes aujourd’hui confrontés aura des répercussions inéluctables au niveau des urnes.
Jusqu’à maintenant, force est de reconnaître que malgré certaines lenteurs, tergiversations et approximations, le Maroc semble bien réagir. En plus d’une communication transparente, rapide et intensive, des mesures sensées ont été prises comme celles de la fermeture des frontières et des écoles avec la mise en place d’un programme d’enseignement à distance.
Ce sont les résultats de ces mesures préventives sur le terrain qui écriront l’avenir politique du pays. Et dans ce registre, c’est la dimension sanitaire qui occupe les esprits. De quelles marges dispose notre pays pour gérer les probables effets d’une propagation de masse du Coronavirus alors qu’on connaît tous les limites de notre médecine publique, en matière de lits et de personnel ?
L’autre déterminant principal est d’ordre économique et sécuritaire. De quels moyens dispose-t-on pour contenir les effets économiques ravageurs sur l’emploi et la productivité si cette crise se prolonge dans le temps et, surtout, quel dispositif a-t-on prévu pour contrer les éventuels troubles à l’ordre public inhérents à ce genre de contextes ?
Majd EL ATOUABI