Comme le veut la tradition, le deuxième vendredi du mois d’octobre marque le début de l’année législative, conformément aux dispositions de l’article 65 de la Constitution. Ministres, députés et conseillers retrouveront les bancs de l’Hémicycle pour une session d’automne qui s’annonce pleine de défis, surtout pour l’Exécutif qui devra résoudre des équations compliquées dans une conjoncture morose, aggravée par la tragédie d’AlHaouz qui implique des milliards d’investissements supplémentaires pour l’Etat.
Si durant les deux dernières années, le principal challenge de l’Exécutif était de débloquer des dossiers longtemps rangés dans les tiroirs du Parlement, tout en concrétisant la vision Royale permettant l’édification de l’Etat social, aujourd’hui, le défi est d’accélérer la cadence des chantiers structurants et de doubler l’effort dans l’investissement, afin que le Royaume soit prêt à accueillir les grands événements prévus dans les années à venir, dont la très prestigieuse Coupe du Monde 2030.
Encore faut-il trouver les financements nécessaires dans un contexte où les institutions financières serrent la ceinture, vu l’incertitude qui plane au-dessus de l’économie mondiale. Mais sur ce point, les Assemblées annuelles de la Banque Mondiale (BM) et du Fonds Monétaire International (FMI) semblent porter leur fruit, en consolidant la confiance des acteurs économiques en la destination Maroc et en ses perspectives de croissance.
Par ailleurs, la conjoncture impose également un esprit pragmatique durant cette année législative, pour mettre fin au désarroi des ménages, notamment en luttant contre la hausse des prix et en améliorant la qualité des services publics, car c’est en changeant le quotidien des individus qu’on pourrait passer à un niveau supérieur de développement économique et social.
Si durant les deux dernières années, le principal challenge de l’Exécutif était de débloquer des dossiers longtemps rangés dans les tiroirs du Parlement, tout en concrétisant la vision Royale permettant l’édification de l’Etat social, aujourd’hui, le défi est d’accélérer la cadence des chantiers structurants et de doubler l’effort dans l’investissement, afin que le Royaume soit prêt à accueillir les grands événements prévus dans les années à venir, dont la très prestigieuse Coupe du Monde 2030.
Encore faut-il trouver les financements nécessaires dans un contexte où les institutions financières serrent la ceinture, vu l’incertitude qui plane au-dessus de l’économie mondiale. Mais sur ce point, les Assemblées annuelles de la Banque Mondiale (BM) et du Fonds Monétaire International (FMI) semblent porter leur fruit, en consolidant la confiance des acteurs économiques en la destination Maroc et en ses perspectives de croissance.
Par ailleurs, la conjoncture impose également un esprit pragmatique durant cette année législative, pour mettre fin au désarroi des ménages, notamment en luttant contre la hausse des prix et en améliorant la qualité des services publics, car c’est en changeant le quotidien des individus qu’on pourrait passer à un niveau supérieur de développement économique et social.