La Marine Royale continue de booster ses capacités avec l’arrivée des patrouilleurs américains «52 Fearless Super Interceptor» qui viennent renforcer la flotte des « vedettes ». Une démarche qui s’inscrit dans le processus de modernisation entamé par la Marine depuis le début des années 2000, à même d’être à la hauteur des défis technologiques et opérationnels imposés par les nouvelles reconfigurations géopolitiques.
Maintenant que le Royaume regarde vers l’Atlantique, désigné comme le nouvel ancrage géopolitique vers l’Afrique, le renforcement des capacités maritimes tombe à point nommé. Le Maroc veut se forger une flotte marchande au large du Sahara, tout en multipliant les routes maritimes avec les pays d’Afrique de l’Ouest dans le cadre de l’initiative royale de la façade atlantique. Cette ambition s’accompagne d’une mise à niveau du littoral du Sahara afin d’aboutir à une véritable économie de la mer. C’est dire qu’une sécurisation renforcée des côtes maritimes est, aujourd’hui, de mise.
Un objectif qui requiert des moyens matériels et humains importants, surtout avec la piraterie maritime qui prospère dans le golfe de la Guinée, sans oublier le terrorisme au Sahel qui pourrait facilement s’étendre au littoral de l’Afrique de l’Ouest.
Autant de menaces qui interpellent sur la nécessité d’anticiper un modèle efficace de sécurisation d’un futur commerce maritime intra-africain. D’où l’enjeu des moyens.
En plus des 121 navires de guerre (selon les estimations), la Marine Royale est dotée de frégates récentes (Mohammed VI, Tarik Ben Ziyad, Allal Ben Abdellah...), des joyaux qui ont besoin d’accompagnement aérien. Ce à quoi la Marine s’emploie actuellement en boostant sa flotte navale avec la multiplication des achats d’hélicoptères. Reste maintenant à songer au maillage de la Marine Royale dont les grandes bases restent positionnées au Nord, à Ksar Sghir, et à Casablanca. Certes, Agadir et Dakhla abritent des bases de moindre envergure, il n’en demeure pas moins qu’il y a besoin d’un maillage plus ample au large du Sahara avec plus de bases à usage militaire et d’un renforcement des Bataillons de Fusiliers-Marins. Un dopage nécessaire pour accompagner les nouvelles ambitions géopolitiques et économiques du Royaume en Atlantique.
Maintenant que le Royaume regarde vers l’Atlantique, désigné comme le nouvel ancrage géopolitique vers l’Afrique, le renforcement des capacités maritimes tombe à point nommé. Le Maroc veut se forger une flotte marchande au large du Sahara, tout en multipliant les routes maritimes avec les pays d’Afrique de l’Ouest dans le cadre de l’initiative royale de la façade atlantique. Cette ambition s’accompagne d’une mise à niveau du littoral du Sahara afin d’aboutir à une véritable économie de la mer. C’est dire qu’une sécurisation renforcée des côtes maritimes est, aujourd’hui, de mise.
Un objectif qui requiert des moyens matériels et humains importants, surtout avec la piraterie maritime qui prospère dans le golfe de la Guinée, sans oublier le terrorisme au Sahel qui pourrait facilement s’étendre au littoral de l’Afrique de l’Ouest.
Autant de menaces qui interpellent sur la nécessité d’anticiper un modèle efficace de sécurisation d’un futur commerce maritime intra-africain. D’où l’enjeu des moyens.
En plus des 121 navires de guerre (selon les estimations), la Marine Royale est dotée de frégates récentes (Mohammed VI, Tarik Ben Ziyad, Allal Ben Abdellah...), des joyaux qui ont besoin d’accompagnement aérien. Ce à quoi la Marine s’emploie actuellement en boostant sa flotte navale avec la multiplication des achats d’hélicoptères. Reste maintenant à songer au maillage de la Marine Royale dont les grandes bases restent positionnées au Nord, à Ksar Sghir, et à Casablanca. Certes, Agadir et Dakhla abritent des bases de moindre envergure, il n’en demeure pas moins qu’il y a besoin d’un maillage plus ample au large du Sahara avec plus de bases à usage militaire et d’un renforcement des Bataillons de Fusiliers-Marins. Un dopage nécessaire pour accompagner les nouvelles ambitions géopolitiques et économiques du Royaume en Atlantique.