A l’occasion de la tenue de la 2ème édition des Rencontres du Digital by PortNet placée sous la thématique « La digitalisation pour une Afrique connectée et intégrée », le directeur général de PortNet S.A., Youssef Ahouzi, a mis en lumière, vendredi 13 mai à Casablanca, le rôle de la digitalisation dans la croissance et le développement du continent africain et les différents projets et chantiers menés pour accélérer son intégration, sa connectivité et sa transformation digitale.
« Grâce à la digitalisation et les immenses opportunités et solutions qui se présentent avec elle, nous pourrons construire des plateformes pour échanger, entreprendre et innover dans une Afrique qui regorge de potentiel et d'opportunités pour bâtir un futur meilleur pour les générations à venir », a-t-il relevé, mettant l’accent sur l’importance de l’interopérabilité, qui est « un levier supplémentaire pour permettre une intégration et une interconnexion entre nous et le développement et le renforcement des synergies au service des entreprises africaines, tout en leur facilitant le commerce transfrontalier et l’accès aux marchés internationaux ».
« Cette stratégie de transformation digitale sera à même de faciliter la mise en œuvre de la zone de libre-échange africaine -ZLECAf », a relevé Youssef Ahouzi.
Pour sa part, le directeur général de l’Agence de développement digital (ADD), Mohamed Idrissi Meliani, a souligné l’urgence d’initier de mener des réflexions profondes sur la mise en place d’un modèle de reprise innovant et résilient qui doit placer l’humain et son environnement au centre des préoccupations, dans un contexte de post-pandémie.
« Il s’agit désormais d’une transformation digitale inévitable pour tout modèle de développement désireux de se réinventer en alliant à la fois aspirations de performance et de résilience économique », a-t-il noté.
Le DG de l'ADD a également fait remarquer qu’un nombre croissant de startups (jeunes entreprises novatrices) et de jeunes africains férus de technologies numériques tirent parti de ces technologies et des besoins spécifiques de l’Afrique pour déployer des modèles d’activités à forte croissance.
« La valeur de certaines startups africaines est actuellement estimée à plus de 1 milliard USD. Plus de 640 technopoles et incubateurs sont actifs au sein du continent, contre 314 en 2016 », a-t-il détaillé.
« Néanmoins, pour atteindre les objectifs de l’Agenda 2063 et assurer une création massive d’emplois pour les jeunes, la transformation digitale doit se diffuser au-delà de ces îlots de réussite », a-t-il martelé.
Dans le même ordre d’idées, Tariq Maaouni, directeur de l’Organisation et des Systèmes d’Information à l’Agence Nationale des Ports (ANP), a relevé que depuis quelques années, la transformation digitale du commerce international s’est accélérée par la création de plusieurs initiatives à l’échelle nationale, régionale et internationale visant l’intégration et l’interopérabilité des différents acteurs de la chaîne de valeur du commerce transfrontalier.
« A ce titre, nous ne pouvons que saluer les réalisations du Maroc en termes de connectivité maritime pour renforcer les liaisons entre le pays et le reste du monde avec le continent africain. Le port de Dakhla Atlantic viendra sûrement renforcer et diversifier davantage la connectivité des pays africains », s’est-il félicité.
A propos de la coopération Sud-Sud, Tariq Maaouni a fait observer qu’elle est au cœur de la politique étrangère marocaine mais aussi au cœur de leurs diverses stratégies, ajoutant que « la dynamique des économies africaines s’inscrit aujourd’hui dans une feuille de route autour des objectifs de développement durable, de solidarité Sud-Sud renforcée et de cohésion humaines et sociales ».
Par ailleurs, cette rencontre a été organisée par le guichet unique PORTNET S.A en partenariat avec l’Agence National des Ports (ANP) et l’Agence de Développement du Digital (ADD), quelques mois après le premier anniversaire de l'entrée en vigueur de la zone de libre-échange africaine (ZLECAF), le 1er janvier 2021.
« Grâce à la digitalisation et les immenses opportunités et solutions qui se présentent avec elle, nous pourrons construire des plateformes pour échanger, entreprendre et innover dans une Afrique qui regorge de potentiel et d'opportunités pour bâtir un futur meilleur pour les générations à venir », a-t-il relevé, mettant l’accent sur l’importance de l’interopérabilité, qui est « un levier supplémentaire pour permettre une intégration et une interconnexion entre nous et le développement et le renforcement des synergies au service des entreprises africaines, tout en leur facilitant le commerce transfrontalier et l’accès aux marchés internationaux ».
« Cette stratégie de transformation digitale sera à même de faciliter la mise en œuvre de la zone de libre-échange africaine -ZLECAf », a relevé Youssef Ahouzi.
Pour sa part, le directeur général de l’Agence de développement digital (ADD), Mohamed Idrissi Meliani, a souligné l’urgence d’initier de mener des réflexions profondes sur la mise en place d’un modèle de reprise innovant et résilient qui doit placer l’humain et son environnement au centre des préoccupations, dans un contexte de post-pandémie.
« Il s’agit désormais d’une transformation digitale inévitable pour tout modèle de développement désireux de se réinventer en alliant à la fois aspirations de performance et de résilience économique », a-t-il noté.
Le DG de l'ADD a également fait remarquer qu’un nombre croissant de startups (jeunes entreprises novatrices) et de jeunes africains férus de technologies numériques tirent parti de ces technologies et des besoins spécifiques de l’Afrique pour déployer des modèles d’activités à forte croissance.
« La valeur de certaines startups africaines est actuellement estimée à plus de 1 milliard USD. Plus de 640 technopoles et incubateurs sont actifs au sein du continent, contre 314 en 2016 », a-t-il détaillé.
« Néanmoins, pour atteindre les objectifs de l’Agenda 2063 et assurer une création massive d’emplois pour les jeunes, la transformation digitale doit se diffuser au-delà de ces îlots de réussite », a-t-il martelé.
Dans le même ordre d’idées, Tariq Maaouni, directeur de l’Organisation et des Systèmes d’Information à l’Agence Nationale des Ports (ANP), a relevé que depuis quelques années, la transformation digitale du commerce international s’est accélérée par la création de plusieurs initiatives à l’échelle nationale, régionale et internationale visant l’intégration et l’interopérabilité des différents acteurs de la chaîne de valeur du commerce transfrontalier.
« A ce titre, nous ne pouvons que saluer les réalisations du Maroc en termes de connectivité maritime pour renforcer les liaisons entre le pays et le reste du monde avec le continent africain. Le port de Dakhla Atlantic viendra sûrement renforcer et diversifier davantage la connectivité des pays africains », s’est-il félicité.
A propos de la coopération Sud-Sud, Tariq Maaouni a fait observer qu’elle est au cœur de la politique étrangère marocaine mais aussi au cœur de leurs diverses stratégies, ajoutant que « la dynamique des économies africaines s’inscrit aujourd’hui dans une feuille de route autour des objectifs de développement durable, de solidarité Sud-Sud renforcée et de cohésion humaines et sociales ».
Par ailleurs, cette rencontre a été organisée par le guichet unique PORTNET S.A en partenariat avec l’Agence National des Ports (ANP) et l’Agence de Développement du Digital (ADD), quelques mois après le premier anniversaire de l'entrée en vigueur de la zone de libre-échange africaine (ZLECAF), le 1er janvier 2021.
