En une semaine, quatre nouvelles sont venues confirmer la transition progressive du Maroc vers le statut de hub énergétique régional. Il s’agit tout d’abord du partenariat stratégique signé entre Falcon capital et Hydrogène de France (HDF Energy)pour le développement d’une centrale de production d’hydrogène vert dans la région de Dakhla avec un investissement de deux milliards de dollars. Ensuite, il y a eu l’annonce du ministre d’Etat nigérian chargé des ressources pétrolières et du gaz, relative à la construction du projet de gazoduc Nigeria-Maroc, qui devrait débuter en 2024.
Puis, il y a eu le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Mariano Grossi, qui a annoncé dans la presse que le Maroc fait partie des pays qui devraient se lancer dans l’énergie nucléaire au cours de la prochaine décennie. Et enfin, ce mercredi, le géant mondial TotalEnergies a annoncé rejoindre le tour de table du projet Xlinks Maroc/Royaume-Uni avec un investissement de plus de250 millions de dirhams.
A la veille de la COP28 qui va se tenir à Dubaï, ces projets symbolisent l’engagement du Maroc dans les défis climatiques mondiaux. La transition énergétique est la problématique centrale de la lutte contre le changement climatique, puisque 73% des émissions de GES(Gaz à effet de serre) proviennent de la production d’énergie, largement dépendante du charbon et du pétrole. En se plaçant comme producteur et exportateur des énergies vertes (hydroélectricité, nucléaire, gaz naturel, hydrogène vert, solaire, éolien...), le Maroc fait un pari sur les prochaines décennies.
On ne peut qu’être admiratif du chemin parcouru par notre pays dans ce domaine. A peine vingt ans auparavant, le Royaume était un pays en insécurité énergétique, largement dépendant des importations d’énergies fossiles et sensibles à la variation de leurs prix. Aujourd’hui, et sans aucune ressource dans son sous-sol, le Maroc peut prétendre devenir un exportateur net d’énergie verte vers l’Europe, et prochainement l’Afrique et le reste du monde.
Puis, il y a eu le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Mariano Grossi, qui a annoncé dans la presse que le Maroc fait partie des pays qui devraient se lancer dans l’énergie nucléaire au cours de la prochaine décennie. Et enfin, ce mercredi, le géant mondial TotalEnergies a annoncé rejoindre le tour de table du projet Xlinks Maroc/Royaume-Uni avec un investissement de plus de250 millions de dirhams.
A la veille de la COP28 qui va se tenir à Dubaï, ces projets symbolisent l’engagement du Maroc dans les défis climatiques mondiaux. La transition énergétique est la problématique centrale de la lutte contre le changement climatique, puisque 73% des émissions de GES(Gaz à effet de serre) proviennent de la production d’énergie, largement dépendante du charbon et du pétrole. En se plaçant comme producteur et exportateur des énergies vertes (hydroélectricité, nucléaire, gaz naturel, hydrogène vert, solaire, éolien...), le Maroc fait un pari sur les prochaines décennies.
On ne peut qu’être admiratif du chemin parcouru par notre pays dans ce domaine. A peine vingt ans auparavant, le Royaume était un pays en insécurité énergétique, largement dépendant des importations d’énergies fossiles et sensibles à la variation de leurs prix. Aujourd’hui, et sans aucune ressource dans son sous-sol, le Maroc peut prétendre devenir un exportateur net d’énergie verte vers l’Europe, et prochainement l’Afrique et le reste du monde.
