Offrant une sécurité et une conformité renforcées à même de répondre à tous les besoins du FSI, ce plan de transformation numérique permet de gérer et anticiper les risques mais aussi d’accélérer leur développement grâce à des modèles commerciaux innovants.
Pour Microsoft, les entreprises considèrent la transformation comme un voyage au bout duquel leur personnel parviendra à créer toute la valeur qu’elles recherchent. Elles accèdent à cette valeur en définissant une vision et une stratégie claires, mais aussi en créant une culture d’entreprise collaborative et en se tournant vers la technologie afin de transformer leur manière de travailler. Ce qui fait dire à Mme Samira que « la technologie est l’outil. Les personnes sont le centre de l’attention. Et la valeur est le résultat ».
Dans une étude récente, le baromètre de l’industrie financière africaine (AFIB) a révélé que près de 72% des banques du continent ont déjà mis en place des programmes de numérisation : un chantier qui est d’ailleurs considéré comme prioritaire au sein du secteur des services financiers. Cependant, la plupart des entreprises estiment que leur maturité numérique se situe encore au stade de l’émergence.
Emergence d’un modèle
D’où l’urgence. Pour Mohamed Benmakhlouf, Spécialiste de l’Industrie des services Financiers de la région chez Microsoft, plusieurs facteurs expliquent cette urgence à se numériser. « Tout d’abord, nous avons assisté à de nombreux changements opérés au niveau des différents schémas de travail et qui ont abouti à l’émergence d’un modèle de plus en plus hybride », a-t-il expliqué.
Enfin, rappelons que le plan de Microsoft permet une intégration de bout en bout de produits intelligents basés sur le cloud. Les avantages de l’intégration comprennent la capacité à responsabiliser les employés, à offrir des expériences différenciées aux clients, à lutter contre la criminalité financière, à renforcer la sécurité et la conformité, et à faciliter l’interopérabilité.
Car en aidant les FSF à mieux responsabiliser leurs employés, le cloud de Microsoft permet une meilleure communication et une collaboration renforcée à l’échelle de l’entreprise par le biais de canaux numériques sécurisés, offrant ainsi au personnel un accès aux informations clés n’importe où et n’importe quand.
Le plan de Microsoft permet une intégration de bout en bout de produits intelligents basés sur le cloud. Les avantages de l’intégration comprennent la capacité à responsabiliser les employés, à offrir des expériences différenciées aux clients, à lutter contre la criminalité financière, à renforcer la sécurité et la conformité, et à faciliter l’interopérabilité.
Pour Microsoft, les entreprises considèrent la transformation comme un voyage au bout duquel leur personnel parviendra à créer toute la valeur qu’elles recherchent. Elles accèdent à cette valeur en définissant une vision et une stratégie claires, mais aussi en créant une culture d’entreprise collaborative et en se tournant vers la technologie afin de transformer leur manière de travailler. Ce qui fait dire à Mme Samira que « la technologie est l’outil. Les personnes sont le centre de l’attention. Et la valeur est le résultat ».
Dans une étude récente, le baromètre de l’industrie financière africaine (AFIB) a révélé que près de 72% des banques du continent ont déjà mis en place des programmes de numérisation : un chantier qui est d’ailleurs considéré comme prioritaire au sein du secteur des services financiers. Cependant, la plupart des entreprises estiment que leur maturité numérique se situe encore au stade de l’émergence.
Emergence d’un modèle
D’où l’urgence. Pour Mohamed Benmakhlouf, Spécialiste de l’Industrie des services Financiers de la région chez Microsoft, plusieurs facteurs expliquent cette urgence à se numériser. « Tout d’abord, nous avons assisté à de nombreux changements opérés au niveau des différents schémas de travail et qui ont abouti à l’émergence d’un modèle de plus en plus hybride », a-t-il expliqué.
Enfin, rappelons que le plan de Microsoft permet une intégration de bout en bout de produits intelligents basés sur le cloud. Les avantages de l’intégration comprennent la capacité à responsabiliser les employés, à offrir des expériences différenciées aux clients, à lutter contre la criminalité financière, à renforcer la sécurité et la conformité, et à faciliter l’interopérabilité.
Car en aidant les FSF à mieux responsabiliser leurs employés, le cloud de Microsoft permet une meilleure communication et une collaboration renforcée à l’échelle de l’entreprise par le biais de canaux numériques sécurisés, offrant ainsi au personnel un accès aux informations clés n’importe où et n’importe quand.
Le plan de Microsoft permet une intégration de bout en bout de produits intelligents basés sur le cloud. Les avantages de l’intégration comprennent la capacité à responsabiliser les employés, à offrir des expériences différenciées aux clients, à lutter contre la criminalité financière, à renforcer la sécurité et la conformité, et à faciliter l’interopérabilité.
W. S.
3 questions à Mme Salima Amira
Bancarisation et accès aux services financiers, un réel challenge en Afrique
En marge de la table ronde, organisée récemment, et entièrement articulée autour de la question de la transformation numérique des services financiers (FSI), Mme Salima Amira, Directrice générale de Microsoft Maroc, s’est prêtée à nos questions.
-Le faible taux de bancarisation sur le continent ne sera-t-il pas un frein à l’émergence de la numérisation des établissements financiers ?
-La bancarisation et l’accès aux services financiers est un réel challenge en Afrique. Au-delà de la bancarisation, il y a de grandes inégalités quant à l’accès à l’infrastructure. C’est un grand défi mais aussi un facteur primordial qui incite à l’accélération de la transformation digitale et l’adoption du cloud. Nous sommes dans un continent mobile first, où le secteur financier doit d’ailleurs faire face à la concurrence forte des opérateurs télécoms et des nouveaux acteurs tels que les fintechs.
La Mise à disposition de services mobiles par exemple est un prérequis à la réussite de toute stratégie d’inclusion financière du continent. L’accélération de l’adoption d’un cloud de confiance permet d’y répondre de manière agile et optimale sur le plan financier, car elle s’adapte aux besoins évolutifs d’une PMEs.
-Quel mode d’accompagnement ou service pourrait offrir Microsoft pour accélérer cette mutation ?
-L’inclusion financière est au coeur de la stratégie Microsoft pour l’Afrique. Au-delà de notre démarche d’accompagnement des grands acteurs du secteur des services financiers, Microsoft a mis en place une organisation dédiée pour accompagner la mutation de leur écosystème et clients : L’Africa Transformation Office (ATO), qui vient répondre à une vision portée par notre CEO, Satya Nadella qui a dit que : « la réinvention de Microsoft se produira en Afrique ». ATO vient matérialiser cette vision et s’organise autour de deux leviers : L’infrastructure et le développement des compétences.
Sur le plan de l’infrastructure, nous avons l’ambition forte d’investir dans le continent afin d’homogénéiser l’accès à la technologie. En ce qui concerne le développement des compétences, nous avons défini un champ d’action très large du « digital literacy », ou l’acquisition de compétences digitales basiques, tel que l’utilisation d’une application ou paiement mobile par exemple, aux compétences avancées telles que le développement basé sur le cloud ou l’IA qui permettront au continent de se doter localement des compétences nécessaires à sa transformation.
-Quels types de solutions proposent le Microsoft pour les PME ou plutôt les entrepreneurs africains au Maroc ? Sinon quelles sont les initiatives dans ce sens ?
-Toujours via l’Africa Transformation Office et pour accompagner les PMEs et TPMEs qui représentent 90% du tissu économique du continent, nous avons articulé notre stratégie autour de trois piliers : les partenariats Stratégiques avec les organisations multinationales pour créer le cadre qui nous permettra d’accélérer la dynamique de transformation, les startups où nous planifions d’accompagner le développement de 10.000 startups africaines sur les 5 prochaines années pour libérer le potentiel technologique et d’innovation du continent.
Enfin les TPMEs avec des programmes spécifiques, d’accompagnement dans l’adoption technologique, tout d’abord en se basant sur les deux leviers d’ATO (Infrastructure et développement de compétences), mais aussi via la mise en place de marketplaces spécifiques pour accompagner leur digitalisation de façon optimale sur le plan économique et diminuer les inégalités en termes d’accès à la technologie.
-Le faible taux de bancarisation sur le continent ne sera-t-il pas un frein à l’émergence de la numérisation des établissements financiers ?
-La bancarisation et l’accès aux services financiers est un réel challenge en Afrique. Au-delà de la bancarisation, il y a de grandes inégalités quant à l’accès à l’infrastructure. C’est un grand défi mais aussi un facteur primordial qui incite à l’accélération de la transformation digitale et l’adoption du cloud. Nous sommes dans un continent mobile first, où le secteur financier doit d’ailleurs faire face à la concurrence forte des opérateurs télécoms et des nouveaux acteurs tels que les fintechs.
La Mise à disposition de services mobiles par exemple est un prérequis à la réussite de toute stratégie d’inclusion financière du continent. L’accélération de l’adoption d’un cloud de confiance permet d’y répondre de manière agile et optimale sur le plan financier, car elle s’adapte aux besoins évolutifs d’une PMEs.
-Quel mode d’accompagnement ou service pourrait offrir Microsoft pour accélérer cette mutation ?
-L’inclusion financière est au coeur de la stratégie Microsoft pour l’Afrique. Au-delà de notre démarche d’accompagnement des grands acteurs du secteur des services financiers, Microsoft a mis en place une organisation dédiée pour accompagner la mutation de leur écosystème et clients : L’Africa Transformation Office (ATO), qui vient répondre à une vision portée par notre CEO, Satya Nadella qui a dit que : « la réinvention de Microsoft se produira en Afrique ». ATO vient matérialiser cette vision et s’organise autour de deux leviers : L’infrastructure et le développement des compétences.
Sur le plan de l’infrastructure, nous avons l’ambition forte d’investir dans le continent afin d’homogénéiser l’accès à la technologie. En ce qui concerne le développement des compétences, nous avons défini un champ d’action très large du « digital literacy », ou l’acquisition de compétences digitales basiques, tel que l’utilisation d’une application ou paiement mobile par exemple, aux compétences avancées telles que le développement basé sur le cloud ou l’IA qui permettront au continent de se doter localement des compétences nécessaires à sa transformation.
-Quels types de solutions proposent le Microsoft pour les PME ou plutôt les entrepreneurs africains au Maroc ? Sinon quelles sont les initiatives dans ce sens ?
-Toujours via l’Africa Transformation Office et pour accompagner les PMEs et TPMEs qui représentent 90% du tissu économique du continent, nous avons articulé notre stratégie autour de trois piliers : les partenariats Stratégiques avec les organisations multinationales pour créer le cadre qui nous permettra d’accélérer la dynamique de transformation, les startups où nous planifions d’accompagner le développement de 10.000 startups africaines sur les 5 prochaines années pour libérer le potentiel technologique et d’innovation du continent.
Enfin les TPMEs avec des programmes spécifiques, d’accompagnement dans l’adoption technologique, tout d’abord en se basant sur les deux leviers d’ATO (Infrastructure et développement de compétences), mais aussi via la mise en place de marketplaces spécifiques pour accompagner leur digitalisation de façon optimale sur le plan économique et diminuer les inégalités en termes d’accès à la technologie.
Recueillis par
Wolondouka SIDIBE