
Le Maroc fait face à une montée en flèche en matière de surpopulation carcérale. Selon la DGAPR, le nombre actuel de détenus dépasse les 100.000 alors que la capacité d'accueil des prisons est de 64.600 lits.
A cet effet, la Délégation générale de l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) tire la sonnette d’alarme à nouveau concernant la surpopulation dans les établissements pénitenciers devenue de plus en plus préoccupante.
Dans un communiqué, publié ce lundi 7 août, les services de Saleh Tamek rapportent que le nombre de détenus a atteint 100.004 alors que la capacité en lits ne dépasse pas les 64.600.
Malgré les efforts déployés pour construire de nouveaux établissements, la DGAPR affirme que cette situation inquiétante de surpopulation carcérale persiste.
La DGAPR exprime, en outre, une grande préoccupation face à cette situation et appelle les autorités judiciaires et administratives à trouver des solutions urgentes pour juguler la surpopulation carcérale afin d'éviter des dysfonctionnements et des problèmes sécuritaires potentiels y afférents.
La surpopulation carcérale complique également les prestations fournies aux prisonniers, notamment en matière de restauration, de services de santé et de programmes de réinsertion social, conclut la Direction.
A cet effet, la Délégation générale de l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) tire la sonnette d’alarme à nouveau concernant la surpopulation dans les établissements pénitenciers devenue de plus en plus préoccupante.
Dans un communiqué, publié ce lundi 7 août, les services de Saleh Tamek rapportent que le nombre de détenus a atteint 100.004 alors que la capacité en lits ne dépasse pas les 64.600.
Malgré les efforts déployés pour construire de nouveaux établissements, la DGAPR affirme que cette situation inquiétante de surpopulation carcérale persiste.
La DGAPR exprime, en outre, une grande préoccupation face à cette situation et appelle les autorités judiciaires et administratives à trouver des solutions urgentes pour juguler la surpopulation carcérale afin d'éviter des dysfonctionnements et des problèmes sécuritaires potentiels y afférents.
La surpopulation carcérale complique également les prestations fournies aux prisonniers, notamment en matière de restauration, de services de santé et de programmes de réinsertion social, conclut la Direction.