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Le Maroc dispose de deux satellites espions électro-optiques en orbite à 620 kilomètres au-dessus du sol lancés dans l’espace en novembre 2017 et 2018 respectivement.
Le royaume utilise ainsi, Mohammed VI-A et Mohammed VI-B, pour surveiller et contrôler ses frontières avec l’Espagne, l’Algérie et les murs érigés dans le désert du Sahara pour contrer les agissements du Polisario.
Le directeur général du Centre de télédétection spatiale, Driss El-Hadani, s’est donc rendu à Abu Dhabi pour rencontrer de hauts responsables des institutions intervenant dans le domaine spatial, notamment Yousuf Hamad al-Shaibani, PDG du Centre spatial Mohammed bin Rashid, et Mohamed Nasser al-Ahbabi, le patron de l’Agence spatiale aux Émirats.
Le royaume veut créer une agence spatiale marocaine, pour laquelle il jouira du soutien de la France, avec laquelle il entretient des relations politiques, économiques et industrielles privilégiées, tout en profitant des avancées émiraties dans ce domaine. Il est question de créer une agence spatiale marocaine pour encourager et coordonner la coopération des pays arabes membres du groupe de la coopération spatiale. Le Maroc cherche à améliorer ses capacités spatiales en s’inspirant de l’expérience émiratie.
Le Maroc est conscient de l’évolution géostratégique que traverse le monde, et aspire à réorganiser son secteur spatial en faisant un saut qualitatif dans la structure actuelle de ses institutions liées à l’espace.
Le royaume utilise ainsi, Mohammed VI-A et Mohammed VI-B, pour surveiller et contrôler ses frontières avec l’Espagne, l’Algérie et les murs érigés dans le désert du Sahara pour contrer les agissements du Polisario.
Le directeur général du Centre de télédétection spatiale, Driss El-Hadani, s’est donc rendu à Abu Dhabi pour rencontrer de hauts responsables des institutions intervenant dans le domaine spatial, notamment Yousuf Hamad al-Shaibani, PDG du Centre spatial Mohammed bin Rashid, et Mohamed Nasser al-Ahbabi, le patron de l’Agence spatiale aux Émirats.
Le royaume veut créer une agence spatiale marocaine, pour laquelle il jouira du soutien de la France, avec laquelle il entretient des relations politiques, économiques et industrielles privilégiées, tout en profitant des avancées émiraties dans ce domaine. Il est question de créer une agence spatiale marocaine pour encourager et coordonner la coopération des pays arabes membres du groupe de la coopération spatiale. Le Maroc cherche à améliorer ses capacités spatiales en s’inspirant de l’expérience émiratie.
Le Maroc est conscient de l’évolution géostratégique que traverse le monde, et aspire à réorganiser son secteur spatial en faisant un saut qualitatif dans la structure actuelle de ses institutions liées à l’espace.