Dans la mythologie grecque, Cassandre est une femme à qui le «dieu Apollon» a accordé le don de voir la vérité et de prédire l’avenir. Cependant, elle a été maudite : bien que ses prophéties soient toujours exactes, personne, pas même sa propre famille, ne les croirait jamais.
Depuis plus d’un demi-siècle, le Maroc porte le fardeau d’une malédiction : celle d’avertir et de prédire la véritable nature du régime algérien, sans jamais être entendu. Dès la veille de l’indépendance de l’Algérie, Feu Hassan II mettait en garde De Gaulle, décrivant ce futur État comme le “cancer de l’Afrique”.
En 1963, les Forces Armées Royales ont dû intervenir pour contrer les incursions de l’embryonnaire mais insolente armée algérienne lors de la guerre des Sables. Depuis 1975, ce régime s’emploie à déstabiliser le Royaume en créant et soutenant une milice séparatiste, le Polisario, devenue son instrument dans cette guerre larvée. Pendant toutes ces années, le Maroc a enduré attaques, insultes et diffamations, sans jamais vaciller ni renoncer à son droit légitime à son intégrité territoriale.
Aujourd’hui, alors que le dossier fictif du Sahara, dont la marocanité est soutenue par une reconnaissance internationale croissante, se rapproche de son épilogue, le régime algérien sombre dans une nouvelle phase d’hystérie. Il s’en prend désormais à la France, qui vient de soutenir la marocanité du Sahara, en prenant en otage l’un de ses écrivains les plus brillants, Boualem Sansal. Son seul tort ? Avoir osé rappeler une vérité historique, selon laquelle, avant la colonisation, “toute la partie Ouest de l’Algérie faisait partie du Maroc : Tlemcen, Oran, et même jusqu’à Mascara”.
Les médias et intellectuels français découvrent, médusés, la véritable nature de ce régime dictatorial, prêt à commettre toutes les horreurs pour se maintenir au pouvoir. On pourrait les regarder avec un sourire narquois, en se disant que nous avions raison depuis le début et qu’ils auraient dû nous écouter.
Mais la folie déstabilisatrice du tandem Tebboune/Chengriha prête plus à la déprime qu’au rire puisque l’Algérie s’efforce de fomenter un nouveau séparatisme au Maroc en soutenant la création d’un prétendu “Parti national rifain”, une manœuvre encore plus risible que ses agissements au Sahara. Ce qui devrait véritablement inquiéter le Maroc et la communauté internationale, ce ne sont pas ces gesticulations dérisoires, mais l’imprévisibilité d’un régime sombrant dans une folie meurtrière.
Depuis plus d’un demi-siècle, le Maroc porte le fardeau d’une malédiction : celle d’avertir et de prédire la véritable nature du régime algérien, sans jamais être entendu. Dès la veille de l’indépendance de l’Algérie, Feu Hassan II mettait en garde De Gaulle, décrivant ce futur État comme le “cancer de l’Afrique”.
En 1963, les Forces Armées Royales ont dû intervenir pour contrer les incursions de l’embryonnaire mais insolente armée algérienne lors de la guerre des Sables. Depuis 1975, ce régime s’emploie à déstabiliser le Royaume en créant et soutenant une milice séparatiste, le Polisario, devenue son instrument dans cette guerre larvée. Pendant toutes ces années, le Maroc a enduré attaques, insultes et diffamations, sans jamais vaciller ni renoncer à son droit légitime à son intégrité territoriale.
Aujourd’hui, alors que le dossier fictif du Sahara, dont la marocanité est soutenue par une reconnaissance internationale croissante, se rapproche de son épilogue, le régime algérien sombre dans une nouvelle phase d’hystérie. Il s’en prend désormais à la France, qui vient de soutenir la marocanité du Sahara, en prenant en otage l’un de ses écrivains les plus brillants, Boualem Sansal. Son seul tort ? Avoir osé rappeler une vérité historique, selon laquelle, avant la colonisation, “toute la partie Ouest de l’Algérie faisait partie du Maroc : Tlemcen, Oran, et même jusqu’à Mascara”.
Les médias et intellectuels français découvrent, médusés, la véritable nature de ce régime dictatorial, prêt à commettre toutes les horreurs pour se maintenir au pouvoir. On pourrait les regarder avec un sourire narquois, en se disant que nous avions raison depuis le début et qu’ils auraient dû nous écouter.
Mais la folie déstabilisatrice du tandem Tebboune/Chengriha prête plus à la déprime qu’au rire puisque l’Algérie s’efforce de fomenter un nouveau séparatisme au Maroc en soutenant la création d’un prétendu “Parti national rifain”, une manœuvre encore plus risible que ses agissements au Sahara. Ce qui devrait véritablement inquiéter le Maroc et la communauté internationale, ce ne sont pas ces gesticulations dérisoires, mais l’imprévisibilité d’un régime sombrant dans une folie meurtrière.