La décision a été annoncée, lundi 6 avril soir, dans un communiqué conjoint des ministères de l’intérieur, de la santé, des finances et de l’industrie, à l’issue d’une réunion du conseil de gouvernement, pour tenter d’endiguer la propagation du virus.
Les autorités marocaines ont fait une grande chose, en prêtant l’oreille aux experts de la Société Marocaine d’Anesthésie, d’Analgésie et de Réanimation (SMAAR) et de la Société Marocaine de Médecine d’urgence (SMMU) qui ont préconisé le port de masques anti-projection.
Ces experts ont souligné, dans leur communiqué, l’importance du port du masque anti-projection, lors des sorties nécessaires, à domicile, surtout en présence de personnes vulnérables et dans les espaces confinés ou étroits du domicile. Pendant cette phase active de la circulation du virus Covid-19 chez les porteurs asymptomatiques non testés, « le port de masque (ou équivalent) en tissu par toute la population dans les lieux publics s’avère un maillon indispensable de la chaîne des mesures barrières pour espérer le décroissement de la courbe épidémique, éviter une surtension sur le système de santé et optimiser la lutte contre cette épidémie grave », ont-ils fait savoir.
Le port du masque est désormais un devoir et une obligation. En défaut, ceux qui ne le portent pas sont soumis aux sanctions prévues par l’article 4 du décret-loi 2.20.292, qui prévoit une peine de prison allant d’un à trois mois et d’une amende entre 300 et 1.300 DH, ou l’une des deux en respectant le principe de la peine la plus lourde, selon le communiqué conjoint.
Les autorités marocaines ont fait une grande chose, en prêtant l’oreille aux experts de la Société Marocaine d’Anesthésie, d’Analgésie et de Réanimation (SMAAR) et de la Société Marocaine de Médecine d’urgence (SMMU) qui ont préconisé le port de masques anti-projection.
Ces experts ont souligné, dans leur communiqué, l’importance du port du masque anti-projection, lors des sorties nécessaires, à domicile, surtout en présence de personnes vulnérables et dans les espaces confinés ou étroits du domicile. Pendant cette phase active de la circulation du virus Covid-19 chez les porteurs asymptomatiques non testés, « le port de masque (ou équivalent) en tissu par toute la population dans les lieux publics s’avère un maillon indispensable de la chaîne des mesures barrières pour espérer le décroissement de la courbe épidémique, éviter une surtension sur le système de santé et optimiser la lutte contre cette épidémie grave », ont-ils fait savoir.
Le port du masque est désormais un devoir et une obligation. En défaut, ceux qui ne le portent pas sont soumis aux sanctions prévues par l’article 4 du décret-loi 2.20.292, qui prévoit une peine de prison allant d’un à trois mois et d’une amende entre 300 et 1.300 DH, ou l’une des deux en respectant le principe de la peine la plus lourde, selon le communiqué conjoint.
Le matériel est là
Selon le même communiqué conjoint, les mesures nécessaires ont été prises pour garantir la disponibilité des masques de protection pour l’ensemble des citoyens à un prix raisonnable, et sur la base de l’article 3 du décret-loi 2.20.292.
Pour garantir leur disponibilité, les autorités ont mobilisé un ensemble d’industriels nationaux pour l’approvisionnement du marché national en ces masques de protection, ajoute la même source, précisant que leur prix de vente a été fixé à 80 centimes l’unité et ce avec le soutien du Fonds spécial pour la gestion de la pandémie du Covid-19.
Cette mesure s’inscrit dans le cadre des efforts déployés pour lutter contre la propagation de l’épidémie du nouveau Coronavirus (Covid-19), et conformément aux Hautes Instructions de SM le Roi Mohammed VI.
Par ailleurs, le nombre de cas de contamination officiellement déclarés au Maroc a doublé en moins d’une semaine, à 1.141 mardi matin, dont 83 décès et 88 guérisons.
Pour garantir leur disponibilité, les autorités ont mobilisé un ensemble d’industriels nationaux pour l’approvisionnement du marché national en ces masques de protection, ajoute la même source, précisant que leur prix de vente a été fixé à 80 centimes l’unité et ce avec le soutien du Fonds spécial pour la gestion de la pandémie du Covid-19.
Cette mesure s’inscrit dans le cadre des efforts déployés pour lutter contre la propagation de l’épidémie du nouveau Coronavirus (Covid-19), et conformément aux Hautes Instructions de SM le Roi Mohammed VI.
Par ailleurs, le nombre de cas de contamination officiellement déclarés au Maroc a doublé en moins d’une semaine, à 1.141 mardi matin, dont 83 décès et 88 guérisons.
S. KSAANI