es tarifs journaliers de location des voitures sont montés en flèche, dopés par une demande grandissante qui s’est explosée, suite à la réouverture des frontières et l'assouplissement des restrictions de déplacement.
Une embellie qui intervient après un épisode douloureux pour les agences de location dont leur activité a été mise à l’épreuve par la pandémie de Covid-19, à l’instar de l’ensemble des maillons de la chaîne de valeur touristique.
En effet, plusieurs loueurs n’ont pas survécu à la crise sanitaire liée au Covid-19 et ont été contraints de mettre la clé sous le paillasson. Par conséquent, la flotte des voitures de location s’est réduite significativement, provoquant un déséquilibre entre l’offre et la demande au moment de la reprise de l’activité.
Sur la toile, les internautes s’indignent de la hausse des prix de location qui concerne toutes les catégories de voitures, des petites citadines aux marques les plus luxueuses. Une situation qui n’arrange pas les voyageurs, en quête du confort et de la liberté que leur procure le déplacement en voiture.
Tenté par un voyage au nord du Maroc en ces temps de canicule, Reda, un cadre du secteur privé, a fait le tour des agences de location à la recherche d’une citadine bon marché mais il a dû changer de plan, faute de choix abordables.
"Les prix ont largement augmenté par rapport à une saison estivale d’avant crise. Cela excède le budget que j’ai prévu pour une voiture de location", déplore Reda, qui optera pour le transport public pour ses déplacements.
Approché par la MAP, Mounir Chami, professionnel du secteur et président de l’Organisation marocaine du transport routier, a attribué cette situation aux répercussions néfastes de la pandémie, estimant qu"’il n’y a plus assez de véhicules sur le marché pour satisfaire la demande, ce qui fait augmenter les prix et le temps d’attente des clients".
La demande pour les voitures de location s’est effondrée, après le déclenchement de la crise sanitaire, provoquant des restrictions de déplacement pour les Marocains résidant à l’étranger et les touristes, qui constituent la clientèle principale des loueurs, a-t-il relevé.
Pour redynamiser le secteur, M. Chami a appelé à davantage d’aide en faveur de cette activité qui fait partie intégrante du secteur touristique national, ce qui implique, a-t-il dit, "leur inclusion dans le contrat-programme portant sur la relance du secteur touristique".
Acteurs incontournables dans le secteur touristique, les agences de location de voitures offrent un service non négligeable aux touristes nationaux et étrangers, animés par la découverte des paysages et des richesses naturelles du Royaume.
Au vu des signes d’amélioration graduelle de la conjoncture, les professionnels de location des voitures, souffrant de plusieurs problèmes structurels accentués par les répercussions de la pandémie, peuvent pousser un premier ouf de soulagement, dans l’attente d’une reprise durable à même d’effacer les séquelles du Covid-19.
Une embellie qui intervient après un épisode douloureux pour les agences de location dont leur activité a été mise à l’épreuve par la pandémie de Covid-19, à l’instar de l’ensemble des maillons de la chaîne de valeur touristique.
En effet, plusieurs loueurs n’ont pas survécu à la crise sanitaire liée au Covid-19 et ont été contraints de mettre la clé sous le paillasson. Par conséquent, la flotte des voitures de location s’est réduite significativement, provoquant un déséquilibre entre l’offre et la demande au moment de la reprise de l’activité.
Sur la toile, les internautes s’indignent de la hausse des prix de location qui concerne toutes les catégories de voitures, des petites citadines aux marques les plus luxueuses. Une situation qui n’arrange pas les voyageurs, en quête du confort et de la liberté que leur procure le déplacement en voiture.
Tenté par un voyage au nord du Maroc en ces temps de canicule, Reda, un cadre du secteur privé, a fait le tour des agences de location à la recherche d’une citadine bon marché mais il a dû changer de plan, faute de choix abordables.
"Les prix ont largement augmenté par rapport à une saison estivale d’avant crise. Cela excède le budget que j’ai prévu pour une voiture de location", déplore Reda, qui optera pour le transport public pour ses déplacements.
Approché par la MAP, Mounir Chami, professionnel du secteur et président de l’Organisation marocaine du transport routier, a attribué cette situation aux répercussions néfastes de la pandémie, estimant qu"’il n’y a plus assez de véhicules sur le marché pour satisfaire la demande, ce qui fait augmenter les prix et le temps d’attente des clients".
La demande pour les voitures de location s’est effondrée, après le déclenchement de la crise sanitaire, provoquant des restrictions de déplacement pour les Marocains résidant à l’étranger et les touristes, qui constituent la clientèle principale des loueurs, a-t-il relevé.
Pour redynamiser le secteur, M. Chami a appelé à davantage d’aide en faveur de cette activité qui fait partie intégrante du secteur touristique national, ce qui implique, a-t-il dit, "leur inclusion dans le contrat-programme portant sur la relance du secteur touristique".
Acteurs incontournables dans le secteur touristique, les agences de location de voitures offrent un service non négligeable aux touristes nationaux et étrangers, animés par la découverte des paysages et des richesses naturelles du Royaume.
Au vu des signes d’amélioration graduelle de la conjoncture, les professionnels de location des voitures, souffrant de plusieurs problèmes structurels accentués par les répercussions de la pandémie, peuvent pousser un premier ouf de soulagement, dans l’attente d’une reprise durable à même d’effacer les séquelles du Covid-19.