À cet égard, le chef d’Etat français a souligné que « dans les pays du Maghreb, on parle moins français qu’il y a vingt-ans ou trente ans. C’est une réalité ». Cet état de fait s’explique, selon Macron, par « des formes de résistance quasi politique », mais également par une volonté de « réhabiter d’autres langues en se disant c’est comme ça que l’on retrouve notre chemin politique ».
Le président de la République française interprète ce recul également par l’utilisation de la langue anglaise, la décrivant ainsi comme un « nouvel espéranto » qui s’est développé avec la facilité d’usage. Le recul de la francophonie nécessite donc un «projet de reconquête» pour que la langue française retrouve sa position, notamment dans les pays du Maghreb.
Ce constat coïncide avec une période où le Maroc s’apprête à instaurer la langue de Shakespeare dans son système éducatif notamment à travers l’enseignement des matières scientifiques.
Le président de la République française interprète ce recul également par l’utilisation de la langue anglaise, la décrivant ainsi comme un « nouvel espéranto » qui s’est développé avec la facilité d’usage. Le recul de la francophonie nécessite donc un «projet de reconquête» pour que la langue française retrouve sa position, notamment dans les pays du Maghreb.
Ce constat coïncide avec une période où le Maroc s’apprête à instaurer la langue de Shakespeare dans son système éducatif notamment à travers l’enseignement des matières scientifiques.