Le suspect a été fortement dénoncé sur les réseaux sociaux en figurant dans des vidéos, en train d’user de la violence à l’encontre de manifestants, usurpant ainsi la fonction de policier. Les autorités ont aussitôt réagi. Quelques heures après l’ouverture d’une enquête par la Wilaya de Rabat, le service préfectoral de la police judiciaire a réussi, jeudi, à interpeller le suspect et ce, sur la base d’informations précises fournies par les services de la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST).
Dans un communiqué, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a fait savoir que les services de police judiciaire chargés d’enquêter sur cette affaire avaient entamé toutes les recherches préliminaires nécessaires à la lumière des données et enregistrements relayés par les réseaux sociaux, et qui ont permis d’identifier le suspect impliqué dans la commission de ces actes criminels et de l’interpeller.
Cette personne dont la photo a été partagée abondamment sur les réseaux sociaux, et particulièrement sur Facebook et Twitter, a été placée en garde à vue à la disposition de l’enquête menée sous la supervision du parquet compétent, afin de déterminer les tenants et aboutissants de cette affaire.
Rappelons que l’épisode du dispersement de la marche des enseignants contractuels a suscité les plus vives réactions sur les réseaux sociaux, un hashtag intitulé « protéger les instituteurs » a fait le tour de la toile, avant d’envahir les écrans suite à la séquence de violence infligée à des manifestants par le suspect.
Dans un communiqué, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a fait savoir que les services de police judiciaire chargés d’enquêter sur cette affaire avaient entamé toutes les recherches préliminaires nécessaires à la lumière des données et enregistrements relayés par les réseaux sociaux, et qui ont permis d’identifier le suspect impliqué dans la commission de ces actes criminels et de l’interpeller.
Cette personne dont la photo a été partagée abondamment sur les réseaux sociaux, et particulièrement sur Facebook et Twitter, a été placée en garde à vue à la disposition de l’enquête menée sous la supervision du parquet compétent, afin de déterminer les tenants et aboutissants de cette affaire.
Rappelons que l’épisode du dispersement de la marche des enseignants contractuels a suscité les plus vives réactions sur les réseaux sociaux, un hashtag intitulé « protéger les instituteurs » a fait le tour de la toile, avant d’envahir les écrans suite à la séquence de violence infligée à des manifestants par le suspect.