Nul ne peut oublier la fameuse réplique de Bola Ahmed Adekunle Tinubu, Président de la République Fédérale du Nigeria, tout juste après sa victoire aux élections : « Nous pouvons créer un pays comme le Maroc. Avec la grâce de Dieu, nous pouvons le faire et nous le ferons ». Cette déclaration sincère, prononcée à un moment euphorique, nous démontre à plus d’un titre le chemin parcouru par le Royaume durant les dernières décennies sur plusieurs fronts. Un an après ces propos amicaux et dans un contexte où l’Initiative marocaine pour l’Atlantique est au-devant de la scène, SM le Roi Mohammed VI a bien voulu adresser au président nigérian «une invitation pour effectuer une visite officielle au Maroc, dont les dates seront arrêtées à travers le canal diplomatique».
Une visite qui permettra de booster davantage la dynamique positive des relations maroco-nigérianes, bien qu’elle ait déjà atteint son rythme de croisière grâce au projet de Gazoduc Africain-Atlantique Nigeria-Maroc, levier stratégique pour l’intégration régionale et le développement économique et social pour l’ensemble des pays d’Afrique de l’Ouest. Un chantier qui, d’une part, s’accélère grâce à l’engouement des investisseurs et qui, d’autre part, prend une dimension encore plus importante grâce à l’initiative Royale visant à établir un espace afro-atlantique fort et prospère, permettant aux pays de la région de bénéficier des opportunités offertes par le marché africain, longtemps exploité par l’Occident.
Dans cette configuration, Rabat et Abuja devraient prendre de l’avance en étendant la bonne dynamique que connaissent la coopération énergétique et l’économie phosphatière à d’autres domaines, tels que la finance, le commerce et même la culture.
L’idée est donc de trouver la bonne formule pour que tous les secteurs puissent profiter pleinement de la nouvelle stratégie atlantique du Royaume, qui placera le pays en tant que plaque tournante entre l’Atlantique, la Méditerranée et l’espace sahélo-saharien, entre bien évidemment l’Orient et l’Occident.
Une visite qui permettra de booster davantage la dynamique positive des relations maroco-nigérianes, bien qu’elle ait déjà atteint son rythme de croisière grâce au projet de Gazoduc Africain-Atlantique Nigeria-Maroc, levier stratégique pour l’intégration régionale et le développement économique et social pour l’ensemble des pays d’Afrique de l’Ouest. Un chantier qui, d’une part, s’accélère grâce à l’engouement des investisseurs et qui, d’autre part, prend une dimension encore plus importante grâce à l’initiative Royale visant à établir un espace afro-atlantique fort et prospère, permettant aux pays de la région de bénéficier des opportunités offertes par le marché africain, longtemps exploité par l’Occident.
Dans cette configuration, Rabat et Abuja devraient prendre de l’avance en étendant la bonne dynamique que connaissent la coopération énergétique et l’économie phosphatière à d’autres domaines, tels que la finance, le commerce et même la culture.
L’idée est donc de trouver la bonne formule pour que tous les secteurs puissent profiter pleinement de la nouvelle stratégie atlantique du Royaume, qui placera le pays en tant que plaque tournante entre l’Atlantique, la Méditerranée et l’espace sahélo-saharien, entre bien évidemment l’Orient et l’Occident.
