« C'est un partenariat gagnant-gagnant que nous voulons consolider et renforcer. Cette mission, instruite par SEM le Président de la République Azali Assoumani, que j'ai eu l'honneur de conduire avec notre représentation diplomatique à Rabat, est porteur d'espoir car les piliers des échanges s'alignent sur le Plan Comores Emergents (PCE), vision de développement de notre pays imprimée par le Président AZALI. » C’est en ces termes que s’est exprimé Mzé Abdou Mohamed Chanfiou, Ministre comorien de l’Economie, de l’Industrie, des Investissements, chargé de l’Intégration Economique, à la fin d’une visite de travail qu’il a effectuée pendant six jours au Maroc.
Un bilan qu’il qualifie aussi de très positif puisque l’hôte du Maroc a rencontré les Ministères en charge des portefeuilles cibles du PCE, tel que ceux de l'aménagement du territoire, du numérique, de l'agriculture, du tourisme, de l'équipement, de l'industrie et du commerce. Résultats : plusieurs axes clés ont été retenus et qui seront mis en œuvre très prochainement, a-t-il ajouté. Il s’agit notamment de la mobilisation, dans un 1er temps, des experts marocains pour conforter les premières évaluations déjà faites sur les projets prioritaires pour les améliorer, les rendre bancables et de baliser ainsi les pistes de financement. Lors de ses entretiens avec les dirigeants des institutions publiques telles que, la Caisse de Dépôt et de Gestion, l'ONEE, MASEN, AMCI, OCP, ANP, SMIT, il a été question surtout de la stratégie de mise en œuvre des programmes retenus du PCE dans le cadre de la coopération économique entre les deux pays.
S’agissant des échanges avec les patrons des établissements bancaires, comme la BMCE Bank et Attijari Wafabanque, le Ministre comorien de l’Economie, de l’Industrie, des Investissements, chargé de l’Intégration Économique et ses interlocuteurs ont surtout évoqué deux axes majeurs, à savoir l'acquisition et la prise de participation au capital des établissements bancaires comoriens ainsi que le financement du secteur privé marocain ou africain qui interviendra dans le programme du PCE.
A ce sujet, il dit avoir trouvé un secteur privé marocain dynamique, avec une volonté de pénétrer dans d'autres marchés en Afrique australe et dans l'océan indien, un marché de plus 500 millions de consommateurs. Et les Comores disposent d’un atout indéniable avec son nouveau code des investissements beaucoup plus attractif, ce qui constitue aujourd'hui une opportunité.
De son côté, le secteur privé a manifesté un grand intérêt, conforté par les relatons fraternelles qui existent entre les deux Etats, amis et frères. Le clou de la rencontre avec les opérateurs économiques privés a été, sans doute, celle qui a eu lieu respectivement avec l’Association marocaine des exportateurs (ASMEX) et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) ainsi que d'autres sociétés intervenant dans les domaines des services financiers, de l'élevage, de la construction, du numérique, de la gestion des déchets et de l'agriculture. Pour notre interlocuteur, ce sont là autant de viviers d'investissements aux Comores. Enfin, il n’a pas manqué d’apprécier la haute qualité des discussions ainsi que l’accueil très chaleureux et fraternel qui lui a été réservé par les autorités marocaines.
Un bilan qu’il qualifie aussi de très positif puisque l’hôte du Maroc a rencontré les Ministères en charge des portefeuilles cibles du PCE, tel que ceux de l'aménagement du territoire, du numérique, de l'agriculture, du tourisme, de l'équipement, de l'industrie et du commerce. Résultats : plusieurs axes clés ont été retenus et qui seront mis en œuvre très prochainement, a-t-il ajouté. Il s’agit notamment de la mobilisation, dans un 1er temps, des experts marocains pour conforter les premières évaluations déjà faites sur les projets prioritaires pour les améliorer, les rendre bancables et de baliser ainsi les pistes de financement. Lors de ses entretiens avec les dirigeants des institutions publiques telles que, la Caisse de Dépôt et de Gestion, l'ONEE, MASEN, AMCI, OCP, ANP, SMIT, il a été question surtout de la stratégie de mise en œuvre des programmes retenus du PCE dans le cadre de la coopération économique entre les deux pays.
S’agissant des échanges avec les patrons des établissements bancaires, comme la BMCE Bank et Attijari Wafabanque, le Ministre comorien de l’Economie, de l’Industrie, des Investissements, chargé de l’Intégration Économique et ses interlocuteurs ont surtout évoqué deux axes majeurs, à savoir l'acquisition et la prise de participation au capital des établissements bancaires comoriens ainsi que le financement du secteur privé marocain ou africain qui interviendra dans le programme du PCE.
A ce sujet, il dit avoir trouvé un secteur privé marocain dynamique, avec une volonté de pénétrer dans d'autres marchés en Afrique australe et dans l'océan indien, un marché de plus 500 millions de consommateurs. Et les Comores disposent d’un atout indéniable avec son nouveau code des investissements beaucoup plus attractif, ce qui constitue aujourd'hui une opportunité.
De son côté, le secteur privé a manifesté un grand intérêt, conforté par les relatons fraternelles qui existent entre les deux Etats, amis et frères. Le clou de la rencontre avec les opérateurs économiques privés a été, sans doute, celle qui a eu lieu respectivement avec l’Association marocaine des exportateurs (ASMEX) et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) ainsi que d'autres sociétés intervenant dans les domaines des services financiers, de l'élevage, de la construction, du numérique, de la gestion des déchets et de l'agriculture. Pour notre interlocuteur, ce sont là autant de viviers d'investissements aux Comores. Enfin, il n’a pas manqué d’apprécier la haute qualité des discussions ainsi que l’accueil très chaleureux et fraternel qui lui a été réservé par les autorités marocaines.
W.S