Lors de la session ordinaire du Conseil communal de Meknès, tenue jeudi au siège de la commune, les élus ont approuvé et adopté une série de conventions de projets de partenariat dans les domaines socio-économiques, sportif et sanitaire avec une ambition de redorer l’image de la cité ismaïlienne et une préparation à l’après pandémie, qui a fortement impacté le tissu socioéconomique de la ville.
Ainsi, les membres du conseil ont examiné une convention ayant pour objectif la création d’un bloc opératoire et de traitement aux rayons laser et d’une unité de chirurgie de traitement des cancers de la femme. Une convention signée par les parties prenantes, à savoir la Fondation Lalla Salma-Prévention et Traitement des cancers, le Conseil préfectoral de Meknès, la commune de Meknès, la commune du Mechouar Stiniya et la délégation préfectorale de la santé.
Autre convention approuvée, un accord entre la commune de Meknès et le groupe « Al Omrane re » pour la mise à niveau des quartiers sous–équipés,
Les conseillers ont procédé aussi à la reconduite du partenariat déjà existant entre la commune et la Régie Autonome de Distribution Eau et Electricité Meknès (RADEM) visant l’assainissement et l’approvisionnement de la ville en eau potable.
Pour la réalisation d’un centre de formation de basketball, une convention a été signée impliquant l’association du Club Omnisports de Meknès (CODEM)-section basketball, le ministère de la Jeunesse et du Sport, le ministère de l’Education nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, la région Fès-Meknès, la commune de Meknès et la Fédération Royale Marocaine de Basketball.
Les élus ont approuvé par la suite le projet de création d’un marché communal au niveau de la route Haj Kadour.
Mais la convention qui a suscité une vraie polémique au sein du conseil est celle signée avec une entreprise privée pour l’exploitation de deux piscines communales dont celle de Riad Park. Sous prétexte que l’entreprise allait investir une somme conséquente et que la commune réussirait ainsi à revaloriser ces espaces, la commune permettra à cette entreprise l’exploitation d’espaces assez vaste en plein centre-ville. Certains conseillers ont rappelé que le conseil aurait approuvé dans une session précédente la réalisation d’un théâtre et autres infrastructures dans l’espace Riad Park.
A noter que durant cette session, a été présenté le résultat du budget principal et des budgets annexes au titre de l’année 2020 et l’examen de la programmation de l’excédent.
Ainsi, les membres du conseil ont examiné une convention ayant pour objectif la création d’un bloc opératoire et de traitement aux rayons laser et d’une unité de chirurgie de traitement des cancers de la femme. Une convention signée par les parties prenantes, à savoir la Fondation Lalla Salma-Prévention et Traitement des cancers, le Conseil préfectoral de Meknès, la commune de Meknès, la commune du Mechouar Stiniya et la délégation préfectorale de la santé.
Autre convention approuvée, un accord entre la commune de Meknès et le groupe « Al Omrane re » pour la mise à niveau des quartiers sous–équipés,
Les conseillers ont procédé aussi à la reconduite du partenariat déjà existant entre la commune et la Régie Autonome de Distribution Eau et Electricité Meknès (RADEM) visant l’assainissement et l’approvisionnement de la ville en eau potable.
Pour la réalisation d’un centre de formation de basketball, une convention a été signée impliquant l’association du Club Omnisports de Meknès (CODEM)-section basketball, le ministère de la Jeunesse et du Sport, le ministère de l’Education nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, la région Fès-Meknès, la commune de Meknès et la Fédération Royale Marocaine de Basketball.
Les élus ont approuvé par la suite le projet de création d’un marché communal au niveau de la route Haj Kadour.
Mais la convention qui a suscité une vraie polémique au sein du conseil est celle signée avec une entreprise privée pour l’exploitation de deux piscines communales dont celle de Riad Park. Sous prétexte que l’entreprise allait investir une somme conséquente et que la commune réussirait ainsi à revaloriser ces espaces, la commune permettra à cette entreprise l’exploitation d’espaces assez vaste en plein centre-ville. Certains conseillers ont rappelé que le conseil aurait approuvé dans une session précédente la réalisation d’un théâtre et autres infrastructures dans l’espace Riad Park.
A noter que durant cette session, a été présenté le résultat du budget principal et des budgets annexes au titre de l’année 2020 et l’examen de la programmation de l’excédent.
Hassan BENMAHMOUD