Le système d’alerte précoce (SAP) est un système d’urgence préventif qui est mis en place pour répondre rapidement aux menaces, y compris les conflits armés et le terrorisme. Selon la base de données Science Direct, le SAP « représente l’ensemble des capacités nécessaires pour générer et diffuser des informations d’alerte opportunes et significatives qui permettent aux individus, communautés et organisations à risque de se préparer et d’agir de manière appropriée et suffisamment tôt pour réduire les dommages ou les pertes. »
Lors de la réunion du CPS qui s’est tenue à Addis-Abeba, le représentant permanent du Maroc auprès de l’UA, Mohamed Arrouchi, a exposé l’approche multidimensionnelle du Maroc dans la lutte contre les menaces entravant la paix et la sécurité sur le continent africain.
Arrouchi a conduit une délégation marocaine à la réunion pour discuter des menaces posées par les acteurs non étatiques et les groupes séparatistes sur le continent. Ces groupes participent au « commerce illicite de substances psychotropes, à l’exploitation des migrants et des enfants et à d’autres activités du crime organisé », a averti l’ambassadeur.
Veille contre l'exploitation des enfants
Le Maroc met en garde depuis longtemps contre l’exploitation des enfants par les groupes séparatistes, notamment le Front Polisario. La semaine dernière, le ministre marocain des affaires étrangères, Nasser Bourita, a condamné le recrutement d’enfants dans les camps de Tindouf en Algérie. Bourita a également déploré l’inaction de l’Algérie pour aider les enfants exploités dans l’armée. « L’endoctrinement et le recrutement d’enfants par les milices armées du ‘Polisario’ constituent un crime inhumain, et un déni des droits fondamentaux des enfants recrutés, ainsi qu’une violation flagrante des résolutions adoptées par le Conseil de sécurité à ce sujet », a déclaré le ministre. Selon lui, le nombre d’enfants vivant dans des zones de conflit à travers le monde et risquant d’être recrutés par des groupes armés a triplé, passant de moins de 5% en 1990 à plus de 14% en 2020. Faisant écho aux préoccupations du Maroc, Arnouchi a déclaré que le CEWS peut être renforcé en mobilisant des ressources financières et techniques suffisantes et en produisant des données fiables.
Dans le cadre de la coopération Sud-Sud, le Maroc a appelé à des réformes structurelles pour protéger la paix dans les régions du Sahara et du Sahel. Les réformes visent à mobiliser les ressources financières et humaines dans les régions afin d’agir contre le terrorisme. Le rapport sur l’indice mondial du terrorisme, publié le 1er mars, a classé le Maroc à la 76e place parmi les pays touchés par le terrorisme. Le rapport a également noté le rôle actif du Maroc dans la lutte contre le terrorisme.
Lors de la réunion du CPS qui s’est tenue à Addis-Abeba, le représentant permanent du Maroc auprès de l’UA, Mohamed Arrouchi, a exposé l’approche multidimensionnelle du Maroc dans la lutte contre les menaces entravant la paix et la sécurité sur le continent africain.
Arrouchi a conduit une délégation marocaine à la réunion pour discuter des menaces posées par les acteurs non étatiques et les groupes séparatistes sur le continent. Ces groupes participent au « commerce illicite de substances psychotropes, à l’exploitation des migrants et des enfants et à d’autres activités du crime organisé », a averti l’ambassadeur.
Veille contre l'exploitation des enfants
Le Maroc met en garde depuis longtemps contre l’exploitation des enfants par les groupes séparatistes, notamment le Front Polisario. La semaine dernière, le ministre marocain des affaires étrangères, Nasser Bourita, a condamné le recrutement d’enfants dans les camps de Tindouf en Algérie. Bourita a également déploré l’inaction de l’Algérie pour aider les enfants exploités dans l’armée. « L’endoctrinement et le recrutement d’enfants par les milices armées du ‘Polisario’ constituent un crime inhumain, et un déni des droits fondamentaux des enfants recrutés, ainsi qu’une violation flagrante des résolutions adoptées par le Conseil de sécurité à ce sujet », a déclaré le ministre. Selon lui, le nombre d’enfants vivant dans des zones de conflit à travers le monde et risquant d’être recrutés par des groupes armés a triplé, passant de moins de 5% en 1990 à plus de 14% en 2020. Faisant écho aux préoccupations du Maroc, Arnouchi a déclaré que le CEWS peut être renforcé en mobilisant des ressources financières et techniques suffisantes et en produisant des données fiables.
Dans le cadre de la coopération Sud-Sud, le Maroc a appelé à des réformes structurelles pour protéger la paix dans les régions du Sahara et du Sahel. Les réformes visent à mobiliser les ressources financières et humaines dans les régions afin d’agir contre le terrorisme. Le rapport sur l’indice mondial du terrorisme, publié le 1er mars, a classé le Maroc à la 76e place parmi les pays touchés par le terrorisme. Le rapport a également noté le rôle actif du Maroc dans la lutte contre le terrorisme.