S’il reste réservé aux initiés, le concept est très en vogue en ce moment et le marché se porte très bien. Meta envisagerait de développer des outils permettant à ses utilisateurs de créer leurs propres NFT. Ils pourraient ensuite les afficher sur les différentes plateformes du groupe (WhatsApp, Facebook).
Une place du marché pour les vendre serait également dans les cartons. Le projet de cryptomonnaie de Meta, Diem, avait déjà connu beaucoup de critiques sous son ancien nom : Libra. Lors de la présentation du métavers, Mark Zuckerberg a insisté sur le fait que les créateurs pourraient y vendre leurs oeuvres numériques. Le groupe réfléchirait tout d’abord à la mise en place d’un marché pour acheter et vendre des NFT. Le développement d’outils de création serait également à l’étude.
Enfin, Instagram également pourrait être utilisé comme vitrine pour exposer ses objets numériques et l’utilisation de NFT en guise d’avatars sur les réseaux sociaux serait possible.
En effet, certaines collections de NFT (comme le Bored Ape Yacht Club) s’échangent pour des milliers de dollars. Plusieurs stars en possèdent et les mettent fièrement en avant sur leurs réseaux sociaux. Un système de certification permettrait de prouver qu’un utilisateur est bien le propriétaire de son avatar et du NFT lié. Au coeur de ce projet d’intégration des NFT se trouverait Novi. Sur son site, Meta le présente comme « un portefeuille numérique qui permet aux internautes d’envoyer et de recevoir de l’argent à l’international instantanément, de manière sécurisée et sans frais ».
Derrière ses bonnes intentions, il a quand même quelques détracteurs : cinq sénateurs américains démocrates ont envoyé un courrier demandant « l’arrêt immédiat du pilote Novi et de s’engager à ne jamais mettre Diem sur le marché ». Pour faire tourner tout cela, l’entreprise miserait sur sa propre monnaie Diem et sur son portefeuille Novi. Annoncé en juin 2019 par Meta, cet ambitieux projet de monnaie dédié à ses plateformes a du plomb dans l’aile.
Plusieurs pays s’y sont montrés hostiles, tandis que le responsable des cryptomonnaies de Meta a quitté le groupe au mois de novembre. Selon les personnes interrogées, l’entreprise n’en serait qu’à ses débuts dans le domaine et pourrait encore changer ses plans.
Difficile de dire à quel stade elle en est actuellement. En attendant, l’arrivée de Meta sur le marché avec des outils simples pourrait permettre de réellement populariser les NFT auprès du grand public. Cela pourrait également lui permettre de s’imposer sur un terrain juteux sur lequel les autres grands noms de la tech sont pour le moment peu présents.
Une place du marché pour les vendre serait également dans les cartons. Le projet de cryptomonnaie de Meta, Diem, avait déjà connu beaucoup de critiques sous son ancien nom : Libra. Lors de la présentation du métavers, Mark Zuckerberg a insisté sur le fait que les créateurs pourraient y vendre leurs oeuvres numériques. Le groupe réfléchirait tout d’abord à la mise en place d’un marché pour acheter et vendre des NFT. Le développement d’outils de création serait également à l’étude.
Enfin, Instagram également pourrait être utilisé comme vitrine pour exposer ses objets numériques et l’utilisation de NFT en guise d’avatars sur les réseaux sociaux serait possible.
En effet, certaines collections de NFT (comme le Bored Ape Yacht Club) s’échangent pour des milliers de dollars. Plusieurs stars en possèdent et les mettent fièrement en avant sur leurs réseaux sociaux. Un système de certification permettrait de prouver qu’un utilisateur est bien le propriétaire de son avatar et du NFT lié. Au coeur de ce projet d’intégration des NFT se trouverait Novi. Sur son site, Meta le présente comme « un portefeuille numérique qui permet aux internautes d’envoyer et de recevoir de l’argent à l’international instantanément, de manière sécurisée et sans frais ».
Derrière ses bonnes intentions, il a quand même quelques détracteurs : cinq sénateurs américains démocrates ont envoyé un courrier demandant « l’arrêt immédiat du pilote Novi et de s’engager à ne jamais mettre Diem sur le marché ». Pour faire tourner tout cela, l’entreprise miserait sur sa propre monnaie Diem et sur son portefeuille Novi. Annoncé en juin 2019 par Meta, cet ambitieux projet de monnaie dédié à ses plateformes a du plomb dans l’aile.
Plusieurs pays s’y sont montrés hostiles, tandis que le responsable des cryptomonnaies de Meta a quitté le groupe au mois de novembre. Selon les personnes interrogées, l’entreprise n’en serait qu’à ses débuts dans le domaine et pourrait encore changer ses plans.
Difficile de dire à quel stade elle en est actuellement. En attendant, l’arrivée de Meta sur le marché avec des outils simples pourrait permettre de réellement populariser les NFT auprès du grand public. Cela pourrait également lui permettre de s’imposer sur un terrain juteux sur lequel les autres grands noms de la tech sont pour le moment peu présents.
Rime TAYBOUTA