Le ministère marocain de l’Equipement, des Transports, de la Logistique et de l’Eau a dévoilé samedi l’entrée en service la semaine prochaine au sein de la Direction générale de la météorologie (DGM), d’AMTAR, un nouveau supercalculateur météorologique qui commencera après une phase de tests et de portage qui se déroule depuis avril dernier.
AMTAR est le premier supercalculateur de toute l’Afrique et peut effectuer jusqu’à un million de milliards d’opérations par seconde. En effet, les performances de ce nouveau supercalculateur sont 120 fois supérieures à la puissance du précédent système de calcul.
Selon le ministère, AMTAR permettra à la DGM d’améliorer la prévision des phénomènes météorologiques dangereux, d’affiner la précision géographique et de mieux identifier les risques. Le système mis en place repose sur la plateforme de serveurs LENOVO SR850, conçue pour le traitement de gros volumes de transactions réseau.
De plus, il est constitué d’un total de plus de 12.000 processeurs, a indiqué un communiqué du ministère. De son côté, le Fonds de Lutte contre les effets des Catastrophes Naturelles (FLCN) est chargé de mener à bien le nouveau système alors que le pays continue de développer ses systèmes d’intervention d’urgence.
La DGM marocaine considère le supercalculateur comme un atout essentiel pour la réalisation de sa stratégie 2021-2025, dont les axes majeurs sont l’amélioration de la connaissance et l’anticipation des risques météorologiques et climatiques, ainsi que le développement d’une offre de services décisionnels et compétitifs.
Le Maroc connaît des événements météorologiques extrêmes
La mise en oeuvre de ce nouveau supercalculateur constitue un enjeu majeur pour la DGM en tant que Centre météorologique national de référence et en tant que Centre mondial des systèmes d’informations de l’Organisation météorologique mondiale. Selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM), le Maroc connaît chaque année des événements météorologiques extrêmes.
A cet égard, AMTAR permettra d’élaborer, à travers des modèles climatiques à haute résolution, les scénarios de changements climatiques prévus au Maroc et de fournir ainsi des informations plus précises de leurs impacts sur les différents secteurs économiques et sociaux, tout en mettant en place un système de «prévisions d’ensemble ».
AMTAR est le premier supercalculateur de toute l’Afrique et peut effectuer jusqu’à un million de milliards d’opérations par seconde. En effet, les performances de ce nouveau supercalculateur sont 120 fois supérieures à la puissance du précédent système de calcul.
Selon le ministère, AMTAR permettra à la DGM d’améliorer la prévision des phénomènes météorologiques dangereux, d’affiner la précision géographique et de mieux identifier les risques. Le système mis en place repose sur la plateforme de serveurs LENOVO SR850, conçue pour le traitement de gros volumes de transactions réseau.
De plus, il est constitué d’un total de plus de 12.000 processeurs, a indiqué un communiqué du ministère. De son côté, le Fonds de Lutte contre les effets des Catastrophes Naturelles (FLCN) est chargé de mener à bien le nouveau système alors que le pays continue de développer ses systèmes d’intervention d’urgence.
La DGM marocaine considère le supercalculateur comme un atout essentiel pour la réalisation de sa stratégie 2021-2025, dont les axes majeurs sont l’amélioration de la connaissance et l’anticipation des risques météorologiques et climatiques, ainsi que le développement d’une offre de services décisionnels et compétitifs.
Le Maroc connaît des événements météorologiques extrêmes
La mise en oeuvre de ce nouveau supercalculateur constitue un enjeu majeur pour la DGM en tant que Centre météorologique national de référence et en tant que Centre mondial des systèmes d’informations de l’Organisation météorologique mondiale. Selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM), le Maroc connaît chaque année des événements météorologiques extrêmes.
A cet égard, AMTAR permettra d’élaborer, à travers des modèles climatiques à haute résolution, les scénarios de changements climatiques prévus au Maroc et de fournir ainsi des informations plus précises de leurs impacts sur les différents secteurs économiques et sociaux, tout en mettant en place un système de «prévisions d’ensemble ».
Kawtar CHAAT