Le numérique est désormais incontournable pour l’accomplissement de l’opération enseignement- apprentissage, preuve en est la conjoncture imposée par la pandémie qui a accéléré le recours à la technologie. Il n’en va pas autrement pour le marché de travail où les diplômes ne sont plus un gage pour décrocher un emploi, où les compétences techniques s’érigent en nécessité.
«Environ 50% des emplois actuels nécessitent des compétences dans le numérique. D’ici 2030, ce chiffre passera à 77%, avec une multitude de nouvelles technologies modifiant non seulement la typologie d’emplois qui seront créés sur le marché, mais également les compétences requises pour y accéder», selon un communiqué publié par Microsoft le 27 décembre.
Par conséquent, les systèmes éducatifs sont tenus de booster le numérique pour favoriser un apprentissage autonome et innovant qui irait de pair avec une économie numérique mondialisée. Aux antipodes d’un enseignement passif, peu motivant, la technologie se présente comme étant une solution efficace pour optimiser l’implication et l’engagement des apprenants dans un enseignement à distance ou hybride.
Cependant, l’innovation technologique ne se limite pas à aplanir les entraves du processus d’enseignement- apprentissage, elle doit ambitionner à enrichir l’expérience de l’éducation et en faire un levier de construction de la culture et des idées créatrices.
Microsoft lance un appel pour agir promptement en faveur de la mise en place d’un enseignement hybride qui ne serait pas uniquement “une solution rapide pour résoudre un problème d’apprentissage, mais un moyen d’améliorer et d’accélérer l’enseignement tout en proposant des approches centrées sur l’élève et qui répondent aux divers besoins des apprenants”. Ces perspectives ne détonnent pas dans le Maroc qui a instauré un arsenal d’outils, de plateformes et d’outils pour assurer la continuité pédagogique au temps de Covid, et qui aspire à une innovation technologique plus porteuse avec le nouveau modèle de développement (NMD).
Selon les résultats d’une enquête menée par l’Agence nationale de réglementation des télécommunications sur les indicateurs de l’accès des ménages et des individus à la TIC, le taux de pénétration des jeunes de la tranche d’âge de 19 à 24 est passé de 91,8% en 2019 à 99,8% en 2020, soit une augmentation de 8%.
En ce qui concerne le taux de pénétration par milieu, l’enquête révèle que le milieu urbain a connu une augmentation de 8,6% en passant de 79,7 en 2019 à 88,3 % en 2020, contre une augmentation de 11,6% dans le milieu rural où le taux de pénétration est passé de 65,3% en 2019 à 76,9 en 2020, un pourcentage qui demeure quand même en deçà des standards requis.
«Environ 50% des emplois actuels nécessitent des compétences dans le numérique. D’ici 2030, ce chiffre passera à 77%, avec une multitude de nouvelles technologies modifiant non seulement la typologie d’emplois qui seront créés sur le marché, mais également les compétences requises pour y accéder», selon un communiqué publié par Microsoft le 27 décembre.
Par conséquent, les systèmes éducatifs sont tenus de booster le numérique pour favoriser un apprentissage autonome et innovant qui irait de pair avec une économie numérique mondialisée. Aux antipodes d’un enseignement passif, peu motivant, la technologie se présente comme étant une solution efficace pour optimiser l’implication et l’engagement des apprenants dans un enseignement à distance ou hybride.
Cependant, l’innovation technologique ne se limite pas à aplanir les entraves du processus d’enseignement- apprentissage, elle doit ambitionner à enrichir l’expérience de l’éducation et en faire un levier de construction de la culture et des idées créatrices.
Microsoft lance un appel pour agir promptement en faveur de la mise en place d’un enseignement hybride qui ne serait pas uniquement “une solution rapide pour résoudre un problème d’apprentissage, mais un moyen d’améliorer et d’accélérer l’enseignement tout en proposant des approches centrées sur l’élève et qui répondent aux divers besoins des apprenants”. Ces perspectives ne détonnent pas dans le Maroc qui a instauré un arsenal d’outils, de plateformes et d’outils pour assurer la continuité pédagogique au temps de Covid, et qui aspire à une innovation technologique plus porteuse avec le nouveau modèle de développement (NMD).
Selon les résultats d’une enquête menée par l’Agence nationale de réglementation des télécommunications sur les indicateurs de l’accès des ménages et des individus à la TIC, le taux de pénétration des jeunes de la tranche d’âge de 19 à 24 est passé de 91,8% en 2019 à 99,8% en 2020, soit une augmentation de 8%.
En ce qui concerne le taux de pénétration par milieu, l’enquête révèle que le milieu urbain a connu une augmentation de 8,6% en passant de 79,7 en 2019 à 88,3 % en 2020, contre une augmentation de 11,6% dans le milieu rural où le taux de pénétration est passé de 65,3% en 2019 à 76,9 en 2020, un pourcentage qui demeure quand même en deçà des standards requis.
Ikram KARYM
