Dans la presse, comme dans tous les domaines, les chiffres sont une valeur sûre, aussi têtue que non malléable. N’en déplaise donc à l’adage populaire qui veut que l’on puisse faire dire aux chiffres ce que l’on veut, ceux-ci restent, qu’on le veuille ou non, ce miroir honnête qui nous renvoie de nous-mêmes et des choses qui nous entourent une image nette et fidèle, d’un réalisme implacable.
Dans le cas de «L’Opinion», journal quotidien fondé ou plutôt ressuscité et rebaptisé ainsi en 1965, en remplacement du défunt titre censuré «La Nation Africaine», le chiffre dont il est question aujourd’hui est celui de l’édition actuellement dans les kiosques et qu’accessoirement vous tenez entre vos mains : le numéro 20.000. Rond, flatteur et plutôt mignon, ce chiffre à valeur plus symbolique qu’intrinsèque, renseigne malgré tout sur une certaine réalité heureuse de la presse écrite nationale.
Bon an, mal an, contre vents et marées, celle-ci et à l’instar de celles des Nations les plus évoluées en la matière, a toujours pu compter, dans son paysage épars et fluctuant, sur la présence de piliers imperturbables et vénérables dont «L’Opinion» est fier de faire partie. Doyen de la presse quotidienne francophone marocaine, ce journal a su négocier moult virages périlleux et tenir ainsi le cap exigeant d’une progression permanente, sans laquelle il n’aurait jamais pu perdurer et subsister jusqu’à boucler son 20.000ème numéro.
De la première édition jusqu’à celle d’aujourd’hui, des hommes et des femmes de grande valeur et de plusieurs générations se sont succédé dans la rédaction de «L’Opinion», essayant chaque jour de donner le meilleur d’eux-mêmes pour informer les lecteurs et rester dignes de leur respect et de celui de leurs confrères. Cette volonté de toujours bien faire, couplée à un penchant certain pour l’innovation et l’expérimentation de nouvelles rubriques qui ne cherchent in- ne qu’à informer de la manière la plus honnête et la plus sobre possible, sans prétention aucune, est sans nul doute la véritable marque de fabrique de «L’Opinion».
Et c’est cette même marque que nous autres journalistes, dirigeants et membres actuels de l’équipe de «L’Opinion», nous nous engageons fièrement à continuer à porter et à transmettre tel un flambeau sacré, le plus longtemps et le plus loin possible, jusqu’aux prochaines générations.
Dans le cas de «L’Opinion», journal quotidien fondé ou plutôt ressuscité et rebaptisé ainsi en 1965, en remplacement du défunt titre censuré «La Nation Africaine», le chiffre dont il est question aujourd’hui est celui de l’édition actuellement dans les kiosques et qu’accessoirement vous tenez entre vos mains : le numéro 20.000. Rond, flatteur et plutôt mignon, ce chiffre à valeur plus symbolique qu’intrinsèque, renseigne malgré tout sur une certaine réalité heureuse de la presse écrite nationale.
Bon an, mal an, contre vents et marées, celle-ci et à l’instar de celles des Nations les plus évoluées en la matière, a toujours pu compter, dans son paysage épars et fluctuant, sur la présence de piliers imperturbables et vénérables dont «L’Opinion» est fier de faire partie. Doyen de la presse quotidienne francophone marocaine, ce journal a su négocier moult virages périlleux et tenir ainsi le cap exigeant d’une progression permanente, sans laquelle il n’aurait jamais pu perdurer et subsister jusqu’à boucler son 20.000ème numéro.
De la première édition jusqu’à celle d’aujourd’hui, des hommes et des femmes de grande valeur et de plusieurs générations se sont succédé dans la rédaction de «L’Opinion», essayant chaque jour de donner le meilleur d’eux-mêmes pour informer les lecteurs et rester dignes de leur respect et de celui de leurs confrères. Cette volonté de toujours bien faire, couplée à un penchant certain pour l’innovation et l’expérimentation de nouvelles rubriques qui ne cherchent in- ne qu’à informer de la manière la plus honnête et la plus sobre possible, sans prétention aucune, est sans nul doute la véritable marque de fabrique de «L’Opinion».
Et c’est cette même marque que nous autres journalistes, dirigeants et membres actuels de l’équipe de «L’Opinion», nous nous engageons fièrement à continuer à porter et à transmettre tel un flambeau sacré, le plus longtemps et le plus loin possible, jusqu’aux prochaines générations.
