Usant de son second droit de réponse à des propos fallacieux du représentant de l'Algérie, Soufiane Mimouni, au sujet de prétendues autodétermination du "peuple du Sahara occidental" et "occupation dM. Hilale a, par ailleurs, souligné que l’autodétermination des populations du Sahara marocain a été achevée avec le recouvrement par le Maroc de ses provinces sahariennes, et s’exerce quotidiennement par ces populations, depuis lors, et ce à travers plusieurs actes fondateurs et des actions politiques forte au Sahara par le Maroc".
Il s’agit de la défense de l’intégrité territoriale du Royaume à tous les niveaux sur le plan national et diplomatique à l’international, de l’appropriation des différentes échéances électorales et référendaires, ce qui est l’expression suprême du droit à l’autodétermination et ce dans un climat serein, calme et responsable, confirmé par les rapports du Secrétaire général de l’ONU au Conseil de Sécurité, et de la participation massive aux élections législatives, municipales, communales et régionales, en s’honorant du taux de participation le plus élevé du Royaume, soit plus de 65%, ce qui n’est nullement le cas de la participation epsilonesque de 0,1 % en Kabylie, en Algérie.
Il est également question du choix des populations des provinces du Sud du Royaume d’édifier au Sahara une société pacifique, inclusive, ouverte, tolérante et résolument attachée à la démocratie et au respect des droits de l’Homme, de la a contribution de ces populations à l’essor socio-économique et culturel du Sahara marocain, de l’engagement au quotidien de toutes les composantes sociétales du Sahara, particulièrement les jeunes et les femmes, à la mise en œuvre du Nouveau Modèle de développement des provinces du Sud, initié par Sa Majesté le Roi, depuis 2015, et de l’évasion de dizaines de milliers de sahraouis marocains des camps de Tindouf au risque de leur vie, et leur retour à la mère patrie, le Maroc. Plus de 20.000 personnes ont fui les camps de Tindouf et plusieurs dizaines ont été tuées par l'armée algérienne ou par les mercenaires du "polisario" en tentant de s’échapper.
Il a, par la suite, remis le représentant de l’Algérie à sa place, suite à sa énième dérive et la récurrence obsessionnelle de son pays au sujet du présumé droit du Sahara marocain à l’autodétermination et sur ce qu’il a qualifié, avec insolence, de soi-disant, "dernière colonie de l’Afrique et d’état colonisateur".
L'ambassadeur du Maroc a pris les participants à témoins en s’interrogeant: Quel territoire ou pays invités à ce séminaire ont-ils un voisin belliqueux qui leur impose un conflit armé depuis des décennies et les agresse par un groupe séparatiste armé interposé ? Aucun. Seule l’Algérie est coupable de cette unique anomalie gravissime à l’égard du Maroc et de son Sahara.
M. Hilale a, ensuite, rappelé à l’ambassadeur algérien que "l’autodétermination est un principe universel et onusien, qui ne doit souffrir d’aucune sélectivité et qui doit bénéficier à toutes les populations, surtout celles qui subissent une occupation depuis des décennies", ajoutant, dans ce cadre, que "l'Algérie qui se gausse, en toute occasion, de le réclamer avec monomanie pour le Sahara Marocain, oublie qu’il y a des populations dans son propre pays qui réclament de pouvoir bénéficier de ce même droit à l'autodétermination".
Et le diplomate marocain d’ajouter que "le Peuple Kabyle, qui existait bien avant la création de l'Etat algérien, a le droit lui aussi de s’autodéterminer. Pourquoi l’Algérie lui dénie ce qu’elle exige pour les marocains du Sahara, en allant jusqu’à imposer au Royaume un conflit depuis 45 ans, par un groupe armé séparatiste ? Et pourquoi les représentants du Peuple Kabyle n'ont pas le droit d’être présents dans cette réunion du C24 ? Ils ont eux aussi le droit de s'exprimer librement sur leur avenir", a-t-il conclu.
(Avec MAP)
Il s’agit de la défense de l’intégrité territoriale du Royaume à tous les niveaux sur le plan national et diplomatique à l’international, de l’appropriation des différentes échéances électorales et référendaires, ce qui est l’expression suprême du droit à l’autodétermination et ce dans un climat serein, calme et responsable, confirmé par les rapports du Secrétaire général de l’ONU au Conseil de Sécurité, et de la participation massive aux élections législatives, municipales, communales et régionales, en s’honorant du taux de participation le plus élevé du Royaume, soit plus de 65%, ce qui n’est nullement le cas de la participation epsilonesque de 0,1 % en Kabylie, en Algérie.
Il est également question du choix des populations des provinces du Sud du Royaume d’édifier au Sahara une société pacifique, inclusive, ouverte, tolérante et résolument attachée à la démocratie et au respect des droits de l’Homme, de la a contribution de ces populations à l’essor socio-économique et culturel du Sahara marocain, de l’engagement au quotidien de toutes les composantes sociétales du Sahara, particulièrement les jeunes et les femmes, à la mise en œuvre du Nouveau Modèle de développement des provinces du Sud, initié par Sa Majesté le Roi, depuis 2015, et de l’évasion de dizaines de milliers de sahraouis marocains des camps de Tindouf au risque de leur vie, et leur retour à la mère patrie, le Maroc. Plus de 20.000 personnes ont fui les camps de Tindouf et plusieurs dizaines ont été tuées par l'armée algérienne ou par les mercenaires du "polisario" en tentant de s’échapper.
Il a, par la suite, remis le représentant de l’Algérie à sa place, suite à sa énième dérive et la récurrence obsessionnelle de son pays au sujet du présumé droit du Sahara marocain à l’autodétermination et sur ce qu’il a qualifié, avec insolence, de soi-disant, "dernière colonie de l’Afrique et d’état colonisateur".
L'ambassadeur du Maroc a pris les participants à témoins en s’interrogeant: Quel territoire ou pays invités à ce séminaire ont-ils un voisin belliqueux qui leur impose un conflit armé depuis des décennies et les agresse par un groupe séparatiste armé interposé ? Aucun. Seule l’Algérie est coupable de cette unique anomalie gravissime à l’égard du Maroc et de son Sahara.
M. Hilale a, ensuite, rappelé à l’ambassadeur algérien que "l’autodétermination est un principe universel et onusien, qui ne doit souffrir d’aucune sélectivité et qui doit bénéficier à toutes les populations, surtout celles qui subissent une occupation depuis des décennies", ajoutant, dans ce cadre, que "l'Algérie qui se gausse, en toute occasion, de le réclamer avec monomanie pour le Sahara Marocain, oublie qu’il y a des populations dans son propre pays qui réclament de pouvoir bénéficier de ce même droit à l'autodétermination".
Et le diplomate marocain d’ajouter que "le Peuple Kabyle, qui existait bien avant la création de l'Etat algérien, a le droit lui aussi de s’autodéterminer. Pourquoi l’Algérie lui dénie ce qu’elle exige pour les marocains du Sahara, en allant jusqu’à imposer au Royaume un conflit depuis 45 ans, par un groupe armé séparatiste ? Et pourquoi les représentants du Peuple Kabyle n'ont pas le droit d’être présents dans cette réunion du C24 ? Ils ont eux aussi le droit de s'exprimer librement sur leur avenir", a-t-il conclu.
(Avec MAP)