En réponse à une question écrite du parlementaire Abdenbi El Aidoudi, le ministre de la Justice a précisé que le Code de la famille doit être conforme aux changements qu’a connus la société marocaine en matière des droits de l’Homme, précisément des droits des femmes et de l’enfant, depuis l’adoption de la Constitution de 2011.
Dans ce sillage, il a indiqué que le ministère de la Justice est impliqué dans l'évaluation dudit Code qui nécessite la révision d’un certain nombre de ses articles, pour s’adapter aux nouvelles dispositions constitutionnelles et conventions internationales ratifiées par le Maroc.
« Le Maroc a levé ses réserves sur diverses conventions relatives aux droits des femmes, ce qui rend nécessaire de procéder à une évaluation globale du Code de la famille afin d'adapter ces dispositions aux mutations actuelles », a précisé Abdellatif Ouahbi.
Il a souligné que son département s'emploie à surveiller les aspects positifs qui caractérisent le contenu du Code de la famille, puis à identifier les exigences qui suscitent des controverses et des débats intellectuels, juridiques et sociaux entre les différents courants.
Le ministre a, in fine, indiqué qu'un débat public sera ouvert sur la question de la modification des exigences qui nécessitent un amendement, dans le cadre d'une approche participative avec toutes les parties concernées par la question de la famille.
Dans ce sillage, il a indiqué que le ministère de la Justice est impliqué dans l'évaluation dudit Code qui nécessite la révision d’un certain nombre de ses articles, pour s’adapter aux nouvelles dispositions constitutionnelles et conventions internationales ratifiées par le Maroc.
« Le Maroc a levé ses réserves sur diverses conventions relatives aux droits des femmes, ce qui rend nécessaire de procéder à une évaluation globale du Code de la famille afin d'adapter ces dispositions aux mutations actuelles », a précisé Abdellatif Ouahbi.
Il a souligné que son département s'emploie à surveiller les aspects positifs qui caractérisent le contenu du Code de la famille, puis à identifier les exigences qui suscitent des controverses et des débats intellectuels, juridiques et sociaux entre les différents courants.
Le ministre a, in fine, indiqué qu'un débat public sera ouvert sur la question de la modification des exigences qui nécessitent un amendement, dans le cadre d'une approche participative avec toutes les parties concernées par la question de la famille.