D’énormes fresques ont été peintes sur les murs donnant sur la vieille médina pour marquer l’introduction à une dimension artistique et esthétique afin de participer à l’attractivité de la médina. Cette action s’inscrit dans le cadre du projet « laissons une trace », pilotée par le collectif par le collectif Tzouri et financée par l’Union européenne à l’occasion du programme « Moucharaka Mouwatina ». Cette initiative vise « la mobilisation des jeunes dans l’implication effective pour changer leur environnement, à travers la formation et l’orientation et leur implication dans un ensemble d’activités culturelles ».
Le président du collectif Tzouri, Mohamed Momo, a fait savoir que cette activité vient après une formation organisée à l’intention de 14 jeunes de la médina d’Oujda. Ces jeunes ont appris à peindre des fresques murales, une formation offerte par le street artiste marocain Samir Toumi, alias «Iramo Samir».
L’artiste a expliqué que la médina a été choisie car il s’agit « d’un patrimoine qu’on doit préserver et mettre en valeur, en lui offrant une esthétique nouvelle permettant de renforcer son attractivité pour les touristes et visiteurs, et contribuer ainsi à créer une dynamique économique à travers le Street Art ».
Le projet «Laissons une trace» a débuté il y a un an et prendra fin le 30 avril.
Le président du collectif Tzouri, Mohamed Momo, a fait savoir que cette activité vient après une formation organisée à l’intention de 14 jeunes de la médina d’Oujda. Ces jeunes ont appris à peindre des fresques murales, une formation offerte par le street artiste marocain Samir Toumi, alias «Iramo Samir».
L’artiste a expliqué que la médina a été choisie car il s’agit « d’un patrimoine qu’on doit préserver et mettre en valeur, en lui offrant une esthétique nouvelle permettant de renforcer son attractivité pour les touristes et visiteurs, et contribuer ainsi à créer une dynamique économique à travers le Street Art ».
Le projet «Laissons une trace» a débuté il y a un an et prendra fin le 30 avril.