La restauration et la réhabilitation de nos sites historiques devait, de tout temps, constituer l’un des soucis majeurs, de toutes les composantes qui ont à charge, de veiller à la sauvegarde d’un patrimoine, où qu’il se trouve.
Mais dans notre pays et pour des raisons, soi-disant, d’ordre financier, surtout, et qui n’arrivent plus à convaincre grand monde, au vu du nombre d’années que la même rengaine revient en leitmotiv, notre patrimoine est en continuelle déperdition, sans plus personne pour intervenir.
A El Jadida, il existe un acharnement, sans pareil, contre cette belle architecture antique qui caractérise la ville et qui fait son identité, sa mémoire et son âme. Quand elle n’est pas, tout bonnement rasée, cette belle architecture est souvent défigurée, ou tout simplement abandonnée à son sort et aux méfaits du temps. Cette obstination à priver la ville de son identité, a conduit à la destruction de plusieurs chefs d’oeuvre architecturaux.
La ville perd ainsi et au fil du temps, son harmonie et une partie de sa mémoire qui s’évapore, en reléguant aux oubliettes, un patrimoine ô combien précieux ! Plusieurs sites ont subi ce sort, tels que les vasques en marbre du jardin Abdelkrim El Khattabi, les escaliers de l’hôtel Marhaba, les cabines de la plage, l’hôtel Beaulieu, l’immeuble Cohen… et la liste est longue.
Sous prétexte de la « modernisation » de la ville, on rase de vieilles bâtisses, devenues mémoire de la ville, qu’on remplace par des immeubles incongrus, hideux et dépourvus de cette esthétique qui donne à la ville ce cachet particulier et lui confère son authenticité.
Plusieurs petites rues anciennes ont été défigurées par les constructions qui ont transformé ce bel héritage ancestral en un paysage sans âme.
El Jadida a été livrée aux mains de promoteurs immobiliers, des seigneurs du béton qui ne connaissent que le profit matériel et ont ainsi accéléré sa descente aux enfers.
Face à la montée en flèche de cette nouvelle vague d’habitation qui se caractérise par la prolifération d’immeubles. Même l’intérieur de la cité portugaise n’échappe pas à cette prolifération sauvage, qui semble, sans foi ni loi.
El-Jadida est victime de promoteurs qui défient jusqu’aux recommandations officielles, en ne donnant aucune importance à la préservation d’un patrimoine qui constitue l’identité et la particularité d’une ville qui fut, dans un passé pas si lointain, le Deauville marocain.
Il serait grand temps d’arrêter le massacre.
Mais dans notre pays et pour des raisons, soi-disant, d’ordre financier, surtout, et qui n’arrivent plus à convaincre grand monde, au vu du nombre d’années que la même rengaine revient en leitmotiv, notre patrimoine est en continuelle déperdition, sans plus personne pour intervenir.
A El Jadida, il existe un acharnement, sans pareil, contre cette belle architecture antique qui caractérise la ville et qui fait son identité, sa mémoire et son âme. Quand elle n’est pas, tout bonnement rasée, cette belle architecture est souvent défigurée, ou tout simplement abandonnée à son sort et aux méfaits du temps. Cette obstination à priver la ville de son identité, a conduit à la destruction de plusieurs chefs d’oeuvre architecturaux.
La ville perd ainsi et au fil du temps, son harmonie et une partie de sa mémoire qui s’évapore, en reléguant aux oubliettes, un patrimoine ô combien précieux ! Plusieurs sites ont subi ce sort, tels que les vasques en marbre du jardin Abdelkrim El Khattabi, les escaliers de l’hôtel Marhaba, les cabines de la plage, l’hôtel Beaulieu, l’immeuble Cohen… et la liste est longue.
Sous prétexte de la « modernisation » de la ville, on rase de vieilles bâtisses, devenues mémoire de la ville, qu’on remplace par des immeubles incongrus, hideux et dépourvus de cette esthétique qui donne à la ville ce cachet particulier et lui confère son authenticité.
Plusieurs petites rues anciennes ont été défigurées par les constructions qui ont transformé ce bel héritage ancestral en un paysage sans âme.
El Jadida a été livrée aux mains de promoteurs immobiliers, des seigneurs du béton qui ne connaissent que le profit matériel et ont ainsi accéléré sa descente aux enfers.
Face à la montée en flèche de cette nouvelle vague d’habitation qui se caractérise par la prolifération d’immeubles. Même l’intérieur de la cité portugaise n’échappe pas à cette prolifération sauvage, qui semble, sans foi ni loi.
El-Jadida est victime de promoteurs qui défient jusqu’aux recommandations officielles, en ne donnant aucune importance à la préservation d’un patrimoine qui constitue l’identité et la particularité d’une ville qui fut, dans un passé pas si lointain, le Deauville marocain.
Il serait grand temps d’arrêter le massacre.
Abdellah HANBALI