Le Secrétaire d’État chargé de l’artisanat et de l’économie sociale et solidaire, Lahcen Saadi, a présenté, lundi, les avancées en matière de formation professionnelle aux métiers de l'artisanat traditionnel marocain, menacé de disparition. Entre 2022 et 2024, le Maroc a formé plus de 50 000 artisans.
Lors de la séance dédiée aux questions orales à la Chambre des représentants, Saadi a précisé que le ministère dispose de 67 établissements de formation, accompagnés de plus de 100 annexes en milieu rural, offrant des programmes de formation initiale et continue, incluant des internats. Il a souligné que « plus de 90 % des diplômés accèdent au marché du travail, tandis que les 10 % restants trouvent souvent un emploi auprès d’artisans expérimentés avant même la fin de leur formation. »
La lutte contre la disparition des métiers traditionnels est une priorité, notamment après les réformes législatives ayant mis fin au travail des enfants dans les ateliers. Saadi a insisté sur l’importance de la formation professionnelle comme alternative incontournable.
Il a également annoncé l’intégration du secteur de l’artisanat dans la nouvelle feuille de route nationale pour l’emploi, contribuant à ses objectifs stratégiques. À cet égard, il a évoqué le projet phare du ministère avec l’UNESCO, intitulé Trésors de l’artisanat marocain. Ce programme engage chaque artisan, dont le métier est en danger, à former dix jeunes afin de transmettre leur savoir-faire.
La première édition de cette initiative, tenue en 2023, a permis de former 60 jeunes à divers métiers traditionnels. La seconde édition, récemment annoncée, élargira ce chiffre à 100 jeunes, poursuivant ainsi l’objectif de préserver le patrimoine artisanal marocain.
Lors de la séance dédiée aux questions orales à la Chambre des représentants, Saadi a précisé que le ministère dispose de 67 établissements de formation, accompagnés de plus de 100 annexes en milieu rural, offrant des programmes de formation initiale et continue, incluant des internats. Il a souligné que « plus de 90 % des diplômés accèdent au marché du travail, tandis que les 10 % restants trouvent souvent un emploi auprès d’artisans expérimentés avant même la fin de leur formation. »
La lutte contre la disparition des métiers traditionnels est une priorité, notamment après les réformes législatives ayant mis fin au travail des enfants dans les ateliers. Saadi a insisté sur l’importance de la formation professionnelle comme alternative incontournable.
Il a également annoncé l’intégration du secteur de l’artisanat dans la nouvelle feuille de route nationale pour l’emploi, contribuant à ses objectifs stratégiques. À cet égard, il a évoqué le projet phare du ministère avec l’UNESCO, intitulé Trésors de l’artisanat marocain. Ce programme engage chaque artisan, dont le métier est en danger, à former dix jeunes afin de transmettre leur savoir-faire.
La première édition de cette initiative, tenue en 2023, a permis de former 60 jeunes à divers métiers traditionnels. La seconde édition, récemment annoncée, élargira ce chiffre à 100 jeunes, poursuivant ainsi l’objectif de préserver le patrimoine artisanal marocain.