Les mesures proposées par la Commission Fiscalité de l’ASMEX, présidée par M. Abdelkader Boukhriss visent à renforcer la compétitivité des exportations, et encourager les entreprises marocaines à devenir des portes étendards du Made In Morocco à travers le monde.
Rappelant l’importance d’une réforme fiscale dans un contexte post-Covid, le président de l’ASMEX, M. Hassan Sentissi Idrissi a insisté dans son élocution d’ouverture sur l’opportunité que peut représenter le Nouveau Modèle de Développement pour ériger l’export comme priorité nationale capable de créer de la valeur, de réduire les inégalités territoriales et de créer de l’emploi pérenne. « Nous n’avons plus le choix, la croissance économique de notre pays passe inévitablement par le développement de l’export national. Malheureusement, nous constatons que l’export n’a toujours pas la place qu’il mérite surtout au niveau fiscal. Mais nous restons optimistes compte tenu des échéances politiques importantes que nous espérons initiatrices de changement », a déclaré M. Sentissi.
Un constat qui a fait l’unanimité auprès des membres tout au long du débat. Pour M. Abdelkader Boukhriss, le contexte de crise permet plus que jamais d’oser des réformes fiscales qui seront bénéfiques pour le secteur de l’export, mais aussi pour toute l’économie nationale.
Pour le M.Sentissi les lacunes du cadre fiscal national sont multiples notamment la faible adhésion à l’impôt en absence de mesures de prévention et de lutte contre la fraude fiscale ; le manque de lisibilité et de visibilité à long terme; l’absence de mesures fiscales au service de la solidarité et de la redistribution et l’incohérence et absence d’évaluations des incitations fiscales.
Finalement, la Commission Fiscalité de l’ASMEX a formulé quelques mesures prioritaires à mettre en œuvre pour permettre au secteur de l’export de jouer pleinement son rôle dans le nouveau modèle de développement économique du Maroc et dans la relance économique post-Covid comme la consécration du principe de la neutralité fiscale en matière de TVA, la suppression selon un rythme progressif de la cotisation minimale ou encore la mise en conformité avec les règles de bonne gouvernance en matière de fiscalité internationale conformément aux conventions et accords.
Rappelant l’importance d’une réforme fiscale dans un contexte post-Covid, le président de l’ASMEX, M. Hassan Sentissi Idrissi a insisté dans son élocution d’ouverture sur l’opportunité que peut représenter le Nouveau Modèle de Développement pour ériger l’export comme priorité nationale capable de créer de la valeur, de réduire les inégalités territoriales et de créer de l’emploi pérenne. « Nous n’avons plus le choix, la croissance économique de notre pays passe inévitablement par le développement de l’export national. Malheureusement, nous constatons que l’export n’a toujours pas la place qu’il mérite surtout au niveau fiscal. Mais nous restons optimistes compte tenu des échéances politiques importantes que nous espérons initiatrices de changement », a déclaré M. Sentissi.
Un constat qui a fait l’unanimité auprès des membres tout au long du débat. Pour M. Abdelkader Boukhriss, le contexte de crise permet plus que jamais d’oser des réformes fiscales qui seront bénéfiques pour le secteur de l’export, mais aussi pour toute l’économie nationale.
Pour le M.Sentissi les lacunes du cadre fiscal national sont multiples notamment la faible adhésion à l’impôt en absence de mesures de prévention et de lutte contre la fraude fiscale ; le manque de lisibilité et de visibilité à long terme; l’absence de mesures fiscales au service de la solidarité et de la redistribution et l’incohérence et absence d’évaluations des incitations fiscales.
Finalement, la Commission Fiscalité de l’ASMEX a formulé quelques mesures prioritaires à mettre en œuvre pour permettre au secteur de l’export de jouer pleinement son rôle dans le nouveau modèle de développement économique du Maroc et dans la relance économique post-Covid comme la consécration du principe de la neutralité fiscale en matière de TVA, la suppression selon un rythme progressif de la cotisation minimale ou encore la mise en conformité avec les règles de bonne gouvernance en matière de fiscalité internationale conformément aux conventions et accords.