Fini l’un des plus gros cassetêtes pour automobilistes souhaitant traverser le croisement de l’avenue Hassan II et l’avenue Al-Alaouiyine. Finis les enchevêtrements de voitures, bus et autres véhicules pris dans le goulot d’étranglement mis en place depuis vendredi 8 octobre à 19h00 pour être précis.
Dans un temps record de moins de 2 mois, l’ouverture à la circulation de cette infrastructure routière, réalisée au croisement de l’avenue Hassan II et l’avenue Al-Alaouyine, s’est déroulée dimanche à partir de 10h. “La cadence des travaux a été accélérée dans le respect des normes techniques pour réduire les délais de réalisation, ce qui a permis de faire avancer le chantier dans un temps record”, selon un communiqué de la Commune de Rabat.
Cet effort, assure-t-on, intervient en réponse aux attentes des habitants de Rabat et Salé en termes d’allègement de la pression due à la fermeture de certains axes routiers en raison du projet. Notant que l’accélération des travaux “est le fruit des efforts conjugués des divers intervenants”, notamment l’Agence pour l’aménagement de la vallée du Bouregreg qui a mobilisé le financement nécessaire, ainsi que la société Rabat Aménagement et la société du Tramway de Rabat- Salé.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de mise en oeuvre du programme “Rabat, ville lumière et capitale culturelle du Royaume”, destiné notamment à renforcer les infrastructures routières et le réseau du transport urbain. Nombre d’automobilistes se disent soulagés par cette réouverture.
Derrière leur volant, certains se montrent souriants et stupéfaits. «J’étais agréablement surpris de voir la trémie rouverte ce matin. Cela soulagera tous les passagers et diminuera sans doute le risque d’accidents dans cet axe routier «, nous confie un chauffeur de taxi blanc qui emprunte quotidiennement ledit croisement.
Emprunté chaque jour par des milliers d’automobilistes et d’usagers du tramway, passant de Rabat à Salé, et vice-versa, le pont Hassan II, qui enjambe le fleuve Bouregreg, fait peau neuve également. Pour rappel, le 17 septembre dernier, l’Agence pour l’Aménagement de la Vallée du Bouregreg (AAVB) avait publié un appel d’offres pour la réalisation des travaux d’entretien du pont qui relie la capitale et sa ville jumelle.
Selon le cahier des charges, il s’agit notamment de fournir et mettre en oeuvre les joints de chaussée et l’habillage en panneaux, dont certains de type “moucharabieh”, et d’entretenir, fournir et poser des grilles de garde-corps. Dans un second appel d’offres qui a été publié le mardi 21 septembre, l’AAVB avait prévu également le lancement de travaux de remise en état des différents pontons du fleuve Bouregreg et de l’aménagement des allées qui y mènent.
Le coût de ce projet est évalué à 2,3 millions de dirhams. Ainsi, en dépit de la conjoncture exceptionnelle liée à la pandémie mondiale du Coronavirus, la région de Rabat-Salé-Kénitra ne cesse d’oeuvrer pour la réalisation de ses ambitions et la poursuite de ses grands projets structurants, devenant ainsi, une locomotive de développement national et continental.
Dans un temps record de moins de 2 mois, l’ouverture à la circulation de cette infrastructure routière, réalisée au croisement de l’avenue Hassan II et l’avenue Al-Alaouyine, s’est déroulée dimanche à partir de 10h. “La cadence des travaux a été accélérée dans le respect des normes techniques pour réduire les délais de réalisation, ce qui a permis de faire avancer le chantier dans un temps record”, selon un communiqué de la Commune de Rabat.
Cet effort, assure-t-on, intervient en réponse aux attentes des habitants de Rabat et Salé en termes d’allègement de la pression due à la fermeture de certains axes routiers en raison du projet. Notant que l’accélération des travaux “est le fruit des efforts conjugués des divers intervenants”, notamment l’Agence pour l’aménagement de la vallée du Bouregreg qui a mobilisé le financement nécessaire, ainsi que la société Rabat Aménagement et la société du Tramway de Rabat- Salé.
Ce projet s’inscrit dans le cadre de mise en oeuvre du programme “Rabat, ville lumière et capitale culturelle du Royaume”, destiné notamment à renforcer les infrastructures routières et le réseau du transport urbain. Nombre d’automobilistes se disent soulagés par cette réouverture.
Derrière leur volant, certains se montrent souriants et stupéfaits. «J’étais agréablement surpris de voir la trémie rouverte ce matin. Cela soulagera tous les passagers et diminuera sans doute le risque d’accidents dans cet axe routier «, nous confie un chauffeur de taxi blanc qui emprunte quotidiennement ledit croisement.
Emprunté chaque jour par des milliers d’automobilistes et d’usagers du tramway, passant de Rabat à Salé, et vice-versa, le pont Hassan II, qui enjambe le fleuve Bouregreg, fait peau neuve également. Pour rappel, le 17 septembre dernier, l’Agence pour l’Aménagement de la Vallée du Bouregreg (AAVB) avait publié un appel d’offres pour la réalisation des travaux d’entretien du pont qui relie la capitale et sa ville jumelle.
Selon le cahier des charges, il s’agit notamment de fournir et mettre en oeuvre les joints de chaussée et l’habillage en panneaux, dont certains de type “moucharabieh”, et d’entretenir, fournir et poser des grilles de garde-corps. Dans un second appel d’offres qui a été publié le mardi 21 septembre, l’AAVB avait prévu également le lancement de travaux de remise en état des différents pontons du fleuve Bouregreg et de l’aménagement des allées qui y mènent.
Le coût de ce projet est évalué à 2,3 millions de dirhams. Ainsi, en dépit de la conjoncture exceptionnelle liée à la pandémie mondiale du Coronavirus, la région de Rabat-Salé-Kénitra ne cesse d’oeuvrer pour la réalisation de ses ambitions et la poursuite de ses grands projets structurants, devenant ainsi, une locomotive de développement national et continental.
Safaa KSAANI