Les coopératives opérant dans la province demeurent en quête d’un nouveau redémarrage de leurs activités après la levée du confinement sanitaire, surtout que ces entités jouent un rôle majeur dans la réalisation du développement durable sur les plans économique et social, la lutte contre le chômage et la pauvreté et l’intégration des petits producteurs dans le marché.
Certaines coopératives ont réorienté leurs activités pour être en phase avec les exigences de la conjoncture sanitaire, alors que d’autres ont vu leurs activités paralysées.
Ainsi, la coopérative «Ibdaat Rehamna», active à Benguérir et spécialisée dans la couture et la broderie, a réorienté ses activités en procédant à la fabrication des masques de protection.
Cette unité, qui comprend une vingtaine d’employé(e)s, a augmenté sa capacité productive pour atteindre entre 2.000 et 3.000 masques par jour, de haute qualité et lavables pour cinq fois au maximum.
Dans ce sens, la présidente de la coopérative, Majida El Berkaoui, a indiqué que la coopérative a, dès l’obtention de l’autorisation de l’Institut Marocain de Normalisation (IMANOR), entamé l’opération de production, ajoutant qu’elle a bénéficié de l’accompagnement de l’OCP en matière de commercialisation.
Et Mme El Berkaoui de noter que la commercialisation de ces bavettes se limite actuellement aux épiceries et aux pharmacies et parapharmacies au niveau de Benguérir, sans oublier des tentatives «modestes» de mise en vente à Marrakech et à Casablanca.
Si la coopérative «Ibdaat Rehamna» a réussi à adapter son activité aux exigences de la conjoncture actuelle, d’autres, en revanche, se sont retrouvées à l’arrêt, en raison de la nature de leur travail comme la coopérative «Annour» des électriciens à Benguérir.
Composée de 40 ouvriers opérant au niveau des chantiers de construction et des complexes résidentiels, cette coopérative a arrêté ses activités suite à une décision des autorités publiques.
A ce propos, le président de ladite coopérative, Allal Naciri, a souligné que la pandémie a engendré l’arrêt total des activités dans le domaine du Bâtiment et des Travaux publics (BTP), qui constitue l’un des secteurs contributeurs au développement de la province et à la garantie de revenus aux ouvriers dans les chantiers.
Par ailleurs, les différentes parties concernées par le développement et le renforcement du tissu coopératif dans la province veillent à accompagner les coopératives œuvrant dans les divers secteurs productifs, en vue d’atténuer les effets socioéconomiques sur ces entités.
Dans ce cadre, le chef de la Division des Affaires Economiques et de la Coordination à la préfecture de Rehamna, Mohamed Najah, a souligné que la province dispose de plus de 256 coopératives, dont 78% active dans le domaine agricole, alors que 21% opèrent dans le secteur de l’artisanat. Il a, en outre, appelé les coopératives locales à accompagner le progrès technologique et scientifique que connaît le Royaume, affirmant que la préfecture va accompagner et faciliter, avec le concours des partenaires et des départements ministériels concernés, la reprise par les coopératives de leurs activités.
Certaines coopératives ont réorienté leurs activités pour être en phase avec les exigences de la conjoncture sanitaire, alors que d’autres ont vu leurs activités paralysées.
Ainsi, la coopérative «Ibdaat Rehamna», active à Benguérir et spécialisée dans la couture et la broderie, a réorienté ses activités en procédant à la fabrication des masques de protection.
Cette unité, qui comprend une vingtaine d’employé(e)s, a augmenté sa capacité productive pour atteindre entre 2.000 et 3.000 masques par jour, de haute qualité et lavables pour cinq fois au maximum.
Dans ce sens, la présidente de la coopérative, Majida El Berkaoui, a indiqué que la coopérative a, dès l’obtention de l’autorisation de l’Institut Marocain de Normalisation (IMANOR), entamé l’opération de production, ajoutant qu’elle a bénéficié de l’accompagnement de l’OCP en matière de commercialisation.
Et Mme El Berkaoui de noter que la commercialisation de ces bavettes se limite actuellement aux épiceries et aux pharmacies et parapharmacies au niveau de Benguérir, sans oublier des tentatives «modestes» de mise en vente à Marrakech et à Casablanca.
Si la coopérative «Ibdaat Rehamna» a réussi à adapter son activité aux exigences de la conjoncture actuelle, d’autres, en revanche, se sont retrouvées à l’arrêt, en raison de la nature de leur travail comme la coopérative «Annour» des électriciens à Benguérir.
Composée de 40 ouvriers opérant au niveau des chantiers de construction et des complexes résidentiels, cette coopérative a arrêté ses activités suite à une décision des autorités publiques.
A ce propos, le président de ladite coopérative, Allal Naciri, a souligné que la pandémie a engendré l’arrêt total des activités dans le domaine du Bâtiment et des Travaux publics (BTP), qui constitue l’un des secteurs contributeurs au développement de la province et à la garantie de revenus aux ouvriers dans les chantiers.
Par ailleurs, les différentes parties concernées par le développement et le renforcement du tissu coopératif dans la province veillent à accompagner les coopératives œuvrant dans les divers secteurs productifs, en vue d’atténuer les effets socioéconomiques sur ces entités.
Dans ce cadre, le chef de la Division des Affaires Economiques et de la Coordination à la préfecture de Rehamna, Mohamed Najah, a souligné que la province dispose de plus de 256 coopératives, dont 78% active dans le domaine agricole, alors que 21% opèrent dans le secteur de l’artisanat. Il a, en outre, appelé les coopératives locales à accompagner le progrès technologique et scientifique que connaît le Royaume, affirmant que la préfecture va accompagner et faciliter, avec le concours des partenaires et des départements ministériels concernés, la reprise par les coopératives de leurs activités.