« Des voies rapides interplanétaires pourraient voir le jour grâce aux courants de gravité qui parcourent l’espace », peut-on lire dans un article du magazine « Sciences et Avenir » dans son édition du mois de février 2021.
Selon le magazine il existerait dans l’espace des « courants de gravité », comparables aux courants marins sur notre planète.
C’est là une découverte d’une équipe serbo-américaine de l’Observatoire astronomique de Belgrade en Serbie. Les chercheurs de l’Observatoire ont mis en évidence une structure qualifiée de « monumentale » dans notre système solaire.
Encore jamais détectée, cette structure se composerait de courants reliés les uns aux autres en une série d’arcs « s’étendant de la ceinture principale d’astéroïdes, située entre Mars et Jupiter, à Uranus et au-delà ».
« Lorsqu’ils viennent à emprunter l’une de ces voies, les objets célestes comme les astéroïdes ou les comètes s’y déplacent plus rapidement, en quelques décennies au lieu de centaines de milliers, voire de millions d’années, qui caractérisent habituellement la dynamique du système solaire » explique-t-on dans l’article en question.
Selon « Sciences et Avenir », les astronomes estiment que ces voies rapides pourraient permettre à des engins spatiaux de parcourir 100 unités astronomiques (UA) en moins d’un siècle. une UA correspond approximativement à la distance entre la Terre et le Soleil, soit environ 150 millions de kilomètres.
Selon le magazine il existerait dans l’espace des « courants de gravité », comparables aux courants marins sur notre planète.
C’est là une découverte d’une équipe serbo-américaine de l’Observatoire astronomique de Belgrade en Serbie. Les chercheurs de l’Observatoire ont mis en évidence une structure qualifiée de « monumentale » dans notre système solaire.
Encore jamais détectée, cette structure se composerait de courants reliés les uns aux autres en une série d’arcs « s’étendant de la ceinture principale d’astéroïdes, située entre Mars et Jupiter, à Uranus et au-delà ».
« Lorsqu’ils viennent à emprunter l’une de ces voies, les objets célestes comme les astéroïdes ou les comètes s’y déplacent plus rapidement, en quelques décennies au lieu de centaines de milliers, voire de millions d’années, qui caractérisent habituellement la dynamique du système solaire » explique-t-on dans l’article en question.
Selon « Sciences et Avenir », les astronomes estiment que ces voies rapides pourraient permettre à des engins spatiaux de parcourir 100 unités astronomiques (UA) en moins d’un siècle. une UA correspond approximativement à la distance entre la Terre et le Soleil, soit environ 150 millions de kilomètres.
