"Nous avons des capacités de production qui sont largement supérieures à la demande du marché. Et c'est dans ce sens que nous sommes intéressés de profiter de la Zone de Libre Échange Continentale Africaine (ZLECAF) pour pouvoir exporter une partie de notre production", a dit M. Akalay dans une interview accordée à la MAP.
Et de préciser que le marché national de la sidérurgie est à près de 1,2 million de tonnes de rond à béton. "Nous vendons aussi à peu près 250.000 tonnes du fil machine, avec des importations moyennes entre 250.000 et 300.0000 tonnes par an", a indiqué le DG de Sonasid.
Parallèlement, M. Akalay est revenu sur la situation du marché mondial qui connaît une augmentation des prix du minerai de fer, laquelle impacte celui de l'acier.
Il a, dans ce sens, expliqué qu'une proportion de 80% de l'acier à l'échelle internationale est produite à partir du minerai de fer et 20% à partir de la ferraille comme recyclage, notant qu'au Maroc, tout l'acier produit vient du recyclage et par conséquent, la baisse de l'offre par rapport à la demande a provoqué une hausse significative des prix.
Côté perspectives du secteur, M. Akalay avance qu'elles sont intéressantes. "D'abord dans le bâtiment, je pense qu'il va y avoir des efforts importants pour être en mesure de faire face à la demande des constructions", a-t-il fait remarquer.
D'après lui, il y a aussi des projets d'infrastructure comme le port phosphatier de Laâyoune qui est en cours de construction, le port de Nador, cinq à six barrages construits par an, outre la ligne train à grande vitesse (TGV) Casablanca-Marrakech qui va aussi consommer de l'acier.
Et de conclure: "Nous sommes très optimistes et nous sommes en mesure de faire face à toute la demande nationale".
Et de préciser que le marché national de la sidérurgie est à près de 1,2 million de tonnes de rond à béton. "Nous vendons aussi à peu près 250.000 tonnes du fil machine, avec des importations moyennes entre 250.000 et 300.0000 tonnes par an", a indiqué le DG de Sonasid.
Parallèlement, M. Akalay est revenu sur la situation du marché mondial qui connaît une augmentation des prix du minerai de fer, laquelle impacte celui de l'acier.
Il a, dans ce sens, expliqué qu'une proportion de 80% de l'acier à l'échelle internationale est produite à partir du minerai de fer et 20% à partir de la ferraille comme recyclage, notant qu'au Maroc, tout l'acier produit vient du recyclage et par conséquent, la baisse de l'offre par rapport à la demande a provoqué une hausse significative des prix.
Côté perspectives du secteur, M. Akalay avance qu'elles sont intéressantes. "D'abord dans le bâtiment, je pense qu'il va y avoir des efforts importants pour être en mesure de faire face à la demande des constructions", a-t-il fait remarquer.
D'après lui, il y a aussi des projets d'infrastructure comme le port phosphatier de Laâyoune qui est en cours de construction, le port de Nador, cinq à six barrages construits par an, outre la ligne train à grande vitesse (TGV) Casablanca-Marrakech qui va aussi consommer de l'acier.
Et de conclure: "Nous sommes très optimistes et nous sommes en mesure de faire face à toute la demande nationale".