En ce mercredi 9 septembre, l’information se répand comme le feu dans une traînée de poudre. Relayée, via les réseaux sociaux et répercutée par plusieurs médias, elle fait état du soutien apporté par des instances syndicales internationales aux pilotes de la RAM licenciés. Jusque-là, rien d’anormal puisque la démarche est banale dans les milieux syndicaux de l’aviation civile réputés pour leur esprit de corps qui transcende les frontières. Quoi de plus normal pour ce métier dont les professionnels ont pour champ de travail les cieux et le monde dans sa globalité, dira-t-on !
Sauf que les courriers adressés à Abdelhamid Addou, le PDG de la RAM, n’émanent pas de n’importe qui et surtout, pas de n’importe où. Leurs signataires ne sont autres que les présidents des syndicats des pilotes de ligne de l’Algérie et de l’Afrique du Sud, deux pays parmi les plus farouches adversaires du Royaume dans la cause sacrée du Sahara Marocain. Il n’en faut pas plus pour susciter une levée de boucliers sous la forme d’accusations d’ingérence de ces deux « pays ennemis » dans une crise interne.
La bourrasque qui commence à enfler sur les réseaux sociaux menace même d’emporter dans son tumulte les revendications des pilotes marocains licenciés que d’aucuns commencent presque à taxer d’intelligence avec l’ennemi. Sauf qu’il y a un hic. Les deux courriers incriminés, à raison d’ailleurs puisqu’ils ne sont certainement pas dénués d’arrières-pensées et de malice, ne sont pas les seuls à avoir été adressés au patron de la RAM. D’autres instances syndicales dont celle du Liban frère et ami que le Maroc continue par ailleurs à être à son chevet suite aux explosions de Beyrouth, ont fait de même. Idem pour les pilotes kenyans ou encore ceux du Bangladesh, ainsi que bien d’autres instances qui ont également exprimés leur soutien aux pilotes licenciés de la RAM pour raisons économiques liées à l’actuelle crise sanitaire (voire fichiers joints en pdf des courriers adressés à la RAM et au ministère de l’emploi).
Et comme pour rajouter au halo d’intrigue et de mystère qui entoure ce dossier, le président de l’indélicat syndicat algérien qui a osé s’immiscer dans une affaire souveraine et maroco-marocaine a annoncé sa démission de son poste le jour même de la médiatisation de son courrier qui, il importe de le signaler, est daté du 4 septembre. Soit un peu moins d’une semaine avant son fuitage aujourd’hui dans les réseaux sociaux. Ce qui laisse planer une question à mille miles : y a-t-il corrélation entre cette démission et le courrier intrusif adressé à la RAM ? Interrogé sur ce point par le site d’information algérien TSA (Tout Sur l’Algérie), l’intéressé a botté en touche, affirmant que les deux événements n’ont rien à voir l’un avec l’autre. L’avenir nous dira peut-être ce qu’il en est réellement.
Sauf que les courriers adressés à Abdelhamid Addou, le PDG de la RAM, n’émanent pas de n’importe qui et surtout, pas de n’importe où. Leurs signataires ne sont autres que les présidents des syndicats des pilotes de ligne de l’Algérie et de l’Afrique du Sud, deux pays parmi les plus farouches adversaires du Royaume dans la cause sacrée du Sahara Marocain. Il n’en faut pas plus pour susciter une levée de boucliers sous la forme d’accusations d’ingérence de ces deux « pays ennemis » dans une crise interne.
La bourrasque qui commence à enfler sur les réseaux sociaux menace même d’emporter dans son tumulte les revendications des pilotes marocains licenciés que d’aucuns commencent presque à taxer d’intelligence avec l’ennemi. Sauf qu’il y a un hic. Les deux courriers incriminés, à raison d’ailleurs puisqu’ils ne sont certainement pas dénués d’arrières-pensées et de malice, ne sont pas les seuls à avoir été adressés au patron de la RAM. D’autres instances syndicales dont celle du Liban frère et ami que le Maroc continue par ailleurs à être à son chevet suite aux explosions de Beyrouth, ont fait de même. Idem pour les pilotes kenyans ou encore ceux du Bangladesh, ainsi que bien d’autres instances qui ont également exprimés leur soutien aux pilotes licenciés de la RAM pour raisons économiques liées à l’actuelle crise sanitaire (voire fichiers joints en pdf des courriers adressés à la RAM et au ministère de l’emploi).
Et comme pour rajouter au halo d’intrigue et de mystère qui entoure ce dossier, le président de l’indélicat syndicat algérien qui a osé s’immiscer dans une affaire souveraine et maroco-marocaine a annoncé sa démission de son poste le jour même de la médiatisation de son courrier qui, il importe de le signaler, est daté du 4 septembre. Soit un peu moins d’une semaine avant son fuitage aujourd’hui dans les réseaux sociaux. Ce qui laisse planer une question à mille miles : y a-t-il corrélation entre cette démission et le courrier intrusif adressé à la RAM ? Interrogé sur ce point par le site d’information algérien TSA (Tout Sur l’Algérie), l’intéressé a botté en touche, affirmant que les deux événements n’ont rien à voir l’un avec l’autre. L’avenir nous dira peut-être ce qu’il en est réellement.
Lettre Syndicat .pdf
(778.61 Ko)
20200907 Ltr to M Amakraz Ministere du travail.pdf (116.25 Ko)
2020.09.04 - Letter to Marroc Pilots Union - Royal Air Maroc.pdf (611.75 Ko)
Letter of Support AMPL.pdf (715.2 Ko)
SKMBT_22320090713380.pdf (318.11 Ko)
20200907 Ltr to M Amakraz Ministere du travail.pdf (116.25 Ko)
2020.09.04 - Letter to Marroc Pilots Union - Royal Air Maroc.pdf (611.75 Ko)
Letter of Support AMPL.pdf (715.2 Ko)
SKMBT_22320090713380.pdf (318.11 Ko)