Grâce au leadership de SM le Roi Mohammed VI, Commandeur des Croyants, le Maroc a déployé d’importants efforts sur différents fronts pour contrer la menace du terrorise et du radicalisme, a expliqué M. Tamek lors de l’émission d'actualité “Joe Pags Talk Show".
La politique du Royaume en matière de gestion des affaires religieuses est fondée, a-t-il expliqué, sur le fait que SM le Roi Mohammed VI, à la fois le Chef de l'Etat et Commandeur des Croyants, veille sur la préservation des constantes religieuses et la protection de l'exercice des cultes.
Le Délégué général de la DGPAR a rappelé dans ce sens que le référentiel religieux du Maroc est fondé sur la modération, l'ouverture, et la tolérance, tout en relevant notamment l'importance de l'organisation de l'émission des fatwas, les attributions du Conseil supérieur des Oulémas, l'enseignement religieux et les efforts du Maroc dans la formation et l'encadrement des imams pour prémunir le Royaume contre l'extrémisme violent et l'ostracisme.
Evoquant les programmes de déradicalisation mis en œuvre dans le milieu carcéral pour parer à l'idéologie obscurantiste, M. Tamek a indiqué que "60% des détenus salafistes libérés de prison ne récidivent plus".
Il a en outre mis en relief les efforts déployés pour assurer à la fois un soutien pédagogique et socio-économique aux détenus pour leur permettre une meilleure réinsertion.
Interrogé sur le cas d'un ex-condamné pour des actes terroristes, exilé en Allemagne, M. Tamek a fait part de son étonnement quant à l’attitude de ce pays sur ce dossier, faisant remarquer que cet individu incite à la violence contre les institutions du Royaume. La position de l’Allemagne sur ce dossier reflète une stratégie globale hostile, a déploré M. Tamek.
Le Délégué général de la DGPAR a tenu, lors de cette interview avec le média américain, à saluer de nouveau la reconnaissance par les Etats-Unis de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara, en relevant qu'en tant que Sahraoui, il ne peut que se féliciter de cette décision historique.
La politique du Royaume en matière de gestion des affaires religieuses est fondée, a-t-il expliqué, sur le fait que SM le Roi Mohammed VI, à la fois le Chef de l'Etat et Commandeur des Croyants, veille sur la préservation des constantes religieuses et la protection de l'exercice des cultes.
Le Délégué général de la DGPAR a rappelé dans ce sens que le référentiel religieux du Maroc est fondé sur la modération, l'ouverture, et la tolérance, tout en relevant notamment l'importance de l'organisation de l'émission des fatwas, les attributions du Conseil supérieur des Oulémas, l'enseignement religieux et les efforts du Maroc dans la formation et l'encadrement des imams pour prémunir le Royaume contre l'extrémisme violent et l'ostracisme.
Evoquant les programmes de déradicalisation mis en œuvre dans le milieu carcéral pour parer à l'idéologie obscurantiste, M. Tamek a indiqué que "60% des détenus salafistes libérés de prison ne récidivent plus".
Il a en outre mis en relief les efforts déployés pour assurer à la fois un soutien pédagogique et socio-économique aux détenus pour leur permettre une meilleure réinsertion.
Interrogé sur le cas d'un ex-condamné pour des actes terroristes, exilé en Allemagne, M. Tamek a fait part de son étonnement quant à l’attitude de ce pays sur ce dossier, faisant remarquer que cet individu incite à la violence contre les institutions du Royaume. La position de l’Allemagne sur ce dossier reflète une stratégie globale hostile, a déploré M. Tamek.
Le Délégué général de la DGPAR a tenu, lors de cette interview avec le média américain, à saluer de nouveau la reconnaissance par les Etats-Unis de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara, en relevant qu'en tant que Sahraoui, il ne peut que se féliciter de cette décision historique.