Pendant que le dépoilement de la 5G va bon train dans le monde entier en offrant des nouvelles possibilités (voiture autonome, industrie 4.0, pilotage fin à grande distance...) et une infrastructure qui commence à prendre conscience de son environnement, les échos sur le développement de la 6G commencent d’ores et déjà à envahir les salons des développeurs réseaux.
D’ailleurs, tous ces éléments de la 5G se retrouvent annoncées aussi pour la 6G, mais celle-ci ambitionne d’aller encore plus loin avec des options visant à créer une fusion entre monde réel et monde numérique afin de créer des doubles numériques, des éléments physiques en accédant à un ensemble d’informations fournies par différents capteurs et bases de données. Cette fusion des deux univers pourra donc doter l’humain d’un pouvoir inédit, et permettra de même de détecter et de réagir plus rapidement aux anomalies et phénomènes.
Parmi les thématiques qui feront la 6G selon les Nokia Bell Labs :
L’intelligence artificielle IA : la tendance a bien commencé avec la 4G puis la 5G, mais elle va exister encore avec la 6G grâce à sa vitesse énorme de débits, qui permettra de traiter des immenses silos de données nécessaires au deep learning.
Spectre : les ressources spectrales ont toujours été un enjeu important dans le développement des réseaux cellulaires, ainsi la 6G va pouvoir exploiter des bandes entre 7 et 20 GHz en environnement urbain et des bandes sub-THz pour des transferts à plus de 100 Gbps. La 5G-Advanced va donc apporter du positionnement indoor au centimètre près, là où le GPS ne peut pas fonctionner.
Réseau adaptatif : la 6G va pouvoir percevoir son environnement, les utilisateurs et les objets à sa portée jusqu’à pouvoir identifier des formes, calculer des vitesses ou même deviner le type de matériau.
Connectivité sans faille : la 5G propose un service basse latence haute fiabilité URLLC, la 6G le bousculera plus loin avec des latences en dessous de la milliseconde et une fiabilité des flux apportée par des transmissions multiples, des connexions point à point avec l’aide de l’IA.
Sécurité et confiance : la 6G assure les transactions et les échanges dans un cadre sécurisé en respectant la vie privée dans un environnement où monde réel et monde numérique vont fusionner.
Reste présentement à identifier et finaliser les technologies et mettre en place la structure intellectuelle qui permettront de faire aboutir cette vision. Mais ce qui est sûr, c’est que ladite technologie à l’instar de ses prédécesseurs, sera confrontée à une série d’oppositions auxquelles il faudrait préparer les arguments dès maintenant.
D’ailleurs, tous ces éléments de la 5G se retrouvent annoncées aussi pour la 6G, mais celle-ci ambitionne d’aller encore plus loin avec des options visant à créer une fusion entre monde réel et monde numérique afin de créer des doubles numériques, des éléments physiques en accédant à un ensemble d’informations fournies par différents capteurs et bases de données. Cette fusion des deux univers pourra donc doter l’humain d’un pouvoir inédit, et permettra de même de détecter et de réagir plus rapidement aux anomalies et phénomènes.
Parmi les thématiques qui feront la 6G selon les Nokia Bell Labs :
L’intelligence artificielle IA : la tendance a bien commencé avec la 4G puis la 5G, mais elle va exister encore avec la 6G grâce à sa vitesse énorme de débits, qui permettra de traiter des immenses silos de données nécessaires au deep learning.
Spectre : les ressources spectrales ont toujours été un enjeu important dans le développement des réseaux cellulaires, ainsi la 6G va pouvoir exploiter des bandes entre 7 et 20 GHz en environnement urbain et des bandes sub-THz pour des transferts à plus de 100 Gbps. La 5G-Advanced va donc apporter du positionnement indoor au centimètre près, là où le GPS ne peut pas fonctionner.
Réseau adaptatif : la 6G va pouvoir percevoir son environnement, les utilisateurs et les objets à sa portée jusqu’à pouvoir identifier des formes, calculer des vitesses ou même deviner le type de matériau.
Connectivité sans faille : la 5G propose un service basse latence haute fiabilité URLLC, la 6G le bousculera plus loin avec des latences en dessous de la milliseconde et une fiabilité des flux apportée par des transmissions multiples, des connexions point à point avec l’aide de l’IA.
Sécurité et confiance : la 6G assure les transactions et les échanges dans un cadre sécurisé en respectant la vie privée dans un environnement où monde réel et monde numérique vont fusionner.
Reste présentement à identifier et finaliser les technologies et mettre en place la structure intellectuelle qui permettront de faire aboutir cette vision. Mais ce qui est sûr, c’est que ladite technologie à l’instar de ses prédécesseurs, sera confrontée à une série d’oppositions auxquelles il faudrait préparer les arguments dès maintenant.
Lamia BELHAFIANI