Au même jour de l’annonce d’un partenariat proposant des solutions publicitaires uniques aux marques et aux entreprises souhaitant s’engager avec l’audience massive d’utilisateurs de TikTok au Maroc, le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a été interpellé au Parlement sur les modalités de régulation de ladite plateforme, source de plusieurs polémiques ces derniers mois. Une zizanie due au contenu inapproprié et infâme publié par certains pseudo-influenceurs, contribuant à la « perversion » des jeunes esprits. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les autorités marocaines demeurent impuissantes face au format hypnotique de l’application qui a pris d’assaut le Maroc, à l’instar de tous les pays du monde. C’est ce qui ressort de l’exposé de Ouahbi devant les députés, dans lequel il affirme, sans ambages, qu’aucune suspension de TikTok, ou autre réseau social, n’est envisageable au Royaume, bien qu’il les considère comme « le plus grand ennemi des droits de l’Homme ».
Mais si le contrôle complet du contenu diffusé sur ces plateformes s’avère pour le moment « impossible », il y a toujours moyen de renforcer l’arsenal juridique régulant l’usage des réseaux sociaux, de sorte à bien tracer aux internautes les lignes à ne pas dépasser. L’idée serait d’éluder dans l’avenir des procès et dés polémiques qui ulcèrent les citoyens, à l’instar de l’esclandre provoqué par les auteurs de la très polémique chanson « Kobiatay », ou encore le scandale du « Blind dating », qui anime toujours les débats de la Toile.
La mise à jour du cadre légal est d’autant plus urgente, alors que TikTok s’ajoute à la liste des plateformes qui paient les « influenceurs » pour leurs productions, laissant présager un afflux encore plus massif de Marocains vers la création de contenu. Et avec le mindset régnant du «tout pour le buzz», vaut mieux se préparer au pire !
Mais si le contrôle complet du contenu diffusé sur ces plateformes s’avère pour le moment « impossible », il y a toujours moyen de renforcer l’arsenal juridique régulant l’usage des réseaux sociaux, de sorte à bien tracer aux internautes les lignes à ne pas dépasser. L’idée serait d’éluder dans l’avenir des procès et dés polémiques qui ulcèrent les citoyens, à l’instar de l’esclandre provoqué par les auteurs de la très polémique chanson « Kobiatay », ou encore le scandale du « Blind dating », qui anime toujours les débats de la Toile.
La mise à jour du cadre légal est d’autant plus urgente, alors que TikTok s’ajoute à la liste des plateformes qui paient les « influenceurs » pour leurs productions, laissant présager un afflux encore plus massif de Marocains vers la création de contenu. Et avec le mindset régnant du «tout pour le buzz», vaut mieux se préparer au pire !
