Comme il fallait s’y attendre, le Royaume, qui organise le traditionnel et incontournable Tour du Maroc du 14 au 23 septembre prochain, a envoyé, comme il est de coutume, des invitations aux pays membres de l’Union Cycliste Internationale (UCI). Et ce, dans le but de venir concourir dans un esprit de pure sportivité, tout en découvrant de la plus belle manière l’un des plus beaux pays du continent et de constater de visu le niveau de développement auquel il est parvenu.
Ceci d’autant plus que cette compétition mythique qu’est le Tour du Maroc revêt cette année un caractère particulier puisque sa première étape se déroule en plein Sahara marocain (Laâyoune à Tarfaya) qui a enregistré, durant les trois dernières décennies, l’un des taux de développement social et infrastructurel les plus rapides et les plus spectaculaires à l’échelle continentale, voire mondiale.
Toutes les Nations conviées pour y prendre part ont répondu par l’affirmative, à l’exception très prévisible de l’Algérie et de son acolyte, l’Afrique du Sud. Tout juste humiliée par les BRICS qui ont opposé un niet catégorique à sa candidature, l’Algérie, championne continentale de la mal-gouvernance et de la gabegie dans la gestion de la chose publique qui aurait tout à perdre et rien à gagner au niveau sportif comme politique de sa participation au Tour du Maroc, traînait en effet dans son sillage néfaste un petit peloton (pour rester dans le jargon cycliste) qui obéissait au doigt et à l’œil aux injonctions monnayées de ses généraux et de ses services de renseignement. Mais après la série de victoires diplomatiques marocaines de ces dernières années, de ce peloton ne subsiste plus aujourd’hui que l’Afrique du Sud du repris de justice Cyril Ramaphosa.
Quoi qu’il en soit, ce double refus algéro-sud-africain vient s’ajouter à la série de défections de ce tandem malveillant, lors du Championnat d’Afrique de futsal, de handball, ainsi que de moult rencontres sportives.
Raison invoquée: le Sahara, théâtre de ces manifs sportives, reconnu marocain par la majorité des pays africains, ainsi que par les deux tiers des pays du Globe et que les militaires algériens continuent de rêver d’arracher à sa marocanité.
Une énième fois donc, la mauvaise foi de l’Algérie et de son acolyte apparaît au grand jour. Le Maroc, anticipant cette tentative de sabotage, a invité les trois meilleurs pays du continent, satisfaisant ainsi aux règlements de l’UCI, laquelle a toujours prôné la nette distinction entre le sport et la politique.
En foi de quoi, nous attendons avec impatience la réaction de l’UCI face à ce refus purement politique.
Ceci d’autant plus que cette compétition mythique qu’est le Tour du Maroc revêt cette année un caractère particulier puisque sa première étape se déroule en plein Sahara marocain (Laâyoune à Tarfaya) qui a enregistré, durant les trois dernières décennies, l’un des taux de développement social et infrastructurel les plus rapides et les plus spectaculaires à l’échelle continentale, voire mondiale.
Toutes les Nations conviées pour y prendre part ont répondu par l’affirmative, à l’exception très prévisible de l’Algérie et de son acolyte, l’Afrique du Sud. Tout juste humiliée par les BRICS qui ont opposé un niet catégorique à sa candidature, l’Algérie, championne continentale de la mal-gouvernance et de la gabegie dans la gestion de la chose publique qui aurait tout à perdre et rien à gagner au niveau sportif comme politique de sa participation au Tour du Maroc, traînait en effet dans son sillage néfaste un petit peloton (pour rester dans le jargon cycliste) qui obéissait au doigt et à l’œil aux injonctions monnayées de ses généraux et de ses services de renseignement. Mais après la série de victoires diplomatiques marocaines de ces dernières années, de ce peloton ne subsiste plus aujourd’hui que l’Afrique du Sud du repris de justice Cyril Ramaphosa.
Quoi qu’il en soit, ce double refus algéro-sud-africain vient s’ajouter à la série de défections de ce tandem malveillant, lors du Championnat d’Afrique de futsal, de handball, ainsi que de moult rencontres sportives.
Raison invoquée: le Sahara, théâtre de ces manifs sportives, reconnu marocain par la majorité des pays africains, ainsi que par les deux tiers des pays du Globe et que les militaires algériens continuent de rêver d’arracher à sa marocanité.
Une énième fois donc, la mauvaise foi de l’Algérie et de son acolyte apparaît au grand jour. Le Maroc, anticipant cette tentative de sabotage, a invité les trois meilleurs pays du continent, satisfaisant ainsi aux règlements de l’UCI, laquelle a toujours prôné la nette distinction entre le sport et la politique.
En foi de quoi, nous attendons avec impatience la réaction de l’UCI face à ce refus purement politique.