Selon un rapport de l’UNICEF et de Pure Earth, nommée «la vérité toxique : l’exposition des enfants à la pollution par le plomb mine une génération de potentiel futur», le taux de plomb contenu dans les épices vendues et achetées au Maroc atteint un paroxysme d’inquiétude.
Les enfants grandissent dans un danger absolu et méconnu. En effet, le rapport a indiqué que « les enfants vivant dans les pays pauvres sont exposés au plomb, une neurotoxine puissante, lorsqu'ils inhalent la poussière et les fumées des mines, des fonderies et des opérations de recyclage des batteries au plomb-acide (ULAB) que l'on trouve dans les voitures, les camions et autres véhicules ». D’ailleurs, ils peuvent également être contaminés par d'autres moyens : aliments pollués au plomb, murs contenant de la peinture au plomb qui s'écaille, proximité avec des décharges électroniques contenant du plomb.
Par ailleurs, le document de l’Unicef et Pure Earth a cité cinq pays dont les épices présentent les plus fortes concentrations de plomb : le Maroc, la Géorgie, le Bangladesh, le Pakistan et le Népal.
Il convient de savoir que les déductions de ce rapport reposent sur l’analyse de 1.496 échantillons d’environ 50 épices provenant de 41 pays. Il en ressort que plus de 50% des échantillons présentent des niveaux détectables de plomb, avec plus de 30% de concentrations supérieures à 2 ppm (partie par million) d’après des analyses de laboratoire.
Le rapport a précisé que « Le plomb est une neurotoxine puissante qui cause des dommages irréparables au cerveau des enfants. Il est particulièrement destructeur pour les bébés et les enfants de moins de 5 ans, car il endommage leur cerveau avant qu’ils n’aient eu l’occasion de se développer pleinement. L’exposition au plomb chez les enfants a également été liée à des problèmes de santé mentale et de comportement et à une augmentation de la criminalité et de la violence. Les enfants plus âgés souffrent de graves conséquences, notamment un risque accru de lésions rénales et de maladies cardiovasculaires, plus tard dans la vie ».
Le rapport affirme dans ce sens qu’environ un enfant sur 3 dans le monde (environ 800 millions enfants) a un taux de plombémie égal ou supérieur à 5 microgrammes par décilitre (µg / dL). Face à ces données alarmantes, l’Organisation Mondiale de la Santé et les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis exigent urgemment des interventions mondiales ainsi que régionales.
Les enfants grandissent dans un danger absolu et méconnu. En effet, le rapport a indiqué que « les enfants vivant dans les pays pauvres sont exposés au plomb, une neurotoxine puissante, lorsqu'ils inhalent la poussière et les fumées des mines, des fonderies et des opérations de recyclage des batteries au plomb-acide (ULAB) que l'on trouve dans les voitures, les camions et autres véhicules ». D’ailleurs, ils peuvent également être contaminés par d'autres moyens : aliments pollués au plomb, murs contenant de la peinture au plomb qui s'écaille, proximité avec des décharges électroniques contenant du plomb.
Par ailleurs, le document de l’Unicef et Pure Earth a cité cinq pays dont les épices présentent les plus fortes concentrations de plomb : le Maroc, la Géorgie, le Bangladesh, le Pakistan et le Népal.
Il convient de savoir que les déductions de ce rapport reposent sur l’analyse de 1.496 échantillons d’environ 50 épices provenant de 41 pays. Il en ressort que plus de 50% des échantillons présentent des niveaux détectables de plomb, avec plus de 30% de concentrations supérieures à 2 ppm (partie par million) d’après des analyses de laboratoire.
Le rapport a précisé que « Le plomb est une neurotoxine puissante qui cause des dommages irréparables au cerveau des enfants. Il est particulièrement destructeur pour les bébés et les enfants de moins de 5 ans, car il endommage leur cerveau avant qu’ils n’aient eu l’occasion de se développer pleinement. L’exposition au plomb chez les enfants a également été liée à des problèmes de santé mentale et de comportement et à une augmentation de la criminalité et de la violence. Les enfants plus âgés souffrent de graves conséquences, notamment un risque accru de lésions rénales et de maladies cardiovasculaires, plus tard dans la vie ».
Le rapport affirme dans ce sens qu’environ un enfant sur 3 dans le monde (environ 800 millions enfants) a un taux de plombémie égal ou supérieur à 5 microgrammes par décilitre (µg / dL). Face à ces données alarmantes, l’Organisation Mondiale de la Santé et les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis exigent urgemment des interventions mondiales ainsi que régionales.