Il semble que le Polisario perd ses leaders à coups de contamination au Covid-19. Après s’être privé de son leader Brahim Ghali, hospitalisé en Espagne après avoir contracté le Sars-COV-2, le front séparatiste a perdu une nouvelle figure éminente de son commandement.
Il s’agit de Sid Ahmed Al Batal, de son vrai nom Sidahmed El Bella Hedda, qui a été enterré dans le cimetière dit de Smara, dans les camps de Tindouf, à en croire des médias proches du Polisario. Ce dernier a occupé plusieurs postes de responsabilités parmi les rangs du front séparatiste. Il était ancien directeur de la sécurité militaire, durant trois ans, de 1979 à 1982.
A l’instar du leader du Polisario Brahim Ghali, ce dernier a un passé criminel. Il est accusé, comme son patron, de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité dans les années 80, par la « Fondation Danielle-Mitterrand - France Libertés ».
Rappelons que le leader du Polisario a été à l’origine d’une crise sans précédent entre le Maroc et l’Espagne. Rabat a vivement protesté auprès de Madrid après l’hospitalisation de ce dernier sur son sol, en usant d’un procédé jugé frauduleux.
Il s’agit de Sid Ahmed Al Batal, de son vrai nom Sidahmed El Bella Hedda, qui a été enterré dans le cimetière dit de Smara, dans les camps de Tindouf, à en croire des médias proches du Polisario. Ce dernier a occupé plusieurs postes de responsabilités parmi les rangs du front séparatiste. Il était ancien directeur de la sécurité militaire, durant trois ans, de 1979 à 1982.
A l’instar du leader du Polisario Brahim Ghali, ce dernier a un passé criminel. Il est accusé, comme son patron, de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité dans les années 80, par la « Fondation Danielle-Mitterrand - France Libertés ».
Rappelons que le leader du Polisario a été à l’origine d’une crise sans précédent entre le Maroc et l’Espagne. Rabat a vivement protesté auprès de Madrid après l’hospitalisation de ce dernier sur son sol, en usant d’un procédé jugé frauduleux.