Il y a exactement 15 mois, Hamas prenait de court les forces israéliennes sous un déluge de roquettes conjugué à une incursion inédite, de par son ampleur, des combattants des brigades d’Al Qassam en territoire israélien. Sonné puis résolu à se venger, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou n’a pas tardé à lancer les représailles les plus cruelles et les plus sanguinaires depuis le début du con it israélo-palestinien. Le bilan est accablant avec un total de 46.913 Palestiniens exterminés à Gaza, dont un enfant sur quatre, et 110.450 blessés à divers degrés de gravité, le tout au prix d’une e royable dévastation doublée d’une volonté manifeste de négation de toute forme de vie et d’existence palestinienne.
Aujourd’hui, après un long et impitoyable carnage, nous témoignons des premières 24 heures d’une trêve qui ranime l’espoir d’une paix durable, malgré les démonstrations de force des dirigeants israéliens et de ceux du Hamas, lesquelles menacent la pérennité d’un cessez-le-feu, tant espéré par des Palestiniens écrasés par la violence meurtrière, l’injustice et le poids d’une colonisation et d’un apartheid d’un autre âge, et une partie du peuple israélien meurtri par l’instabilité permanente et la peur de la mort.
Fidèle à son référentiel de «Peacemaker» dans ce conflit pour la résolution duquel il s’est toujours investi, le Maroc, dont le Souverain, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, préside le Comité Al-Qods, a réagi de manière vigoureuse en appelant dans les termes les plus clairs «toutes les parties palestiniennes et israéliennes à donner une chance à la paix et à démontrer un engagement sincère et constructif, loin de toutes considérations conjoncturelles ou opportunistes». Cet appel se dresse contre les menaces et les discours hostiles, qui jettent de l’huile sur le feu, attisent les haines et alimentent des massacres toujours plus dévastateurs. La sincérité tant prônée par Rabat est la seule voie vers un vrai processus de paix, permettant l’établissement d’un Etat palestinien dans les frontières de 1967 avec Al-Qods Est comme capitale, vivant côte-à-côte et en paix avec Israël.
Aujourd’hui, après un long et impitoyable carnage, nous témoignons des premières 24 heures d’une trêve qui ranime l’espoir d’une paix durable, malgré les démonstrations de force des dirigeants israéliens et de ceux du Hamas, lesquelles menacent la pérennité d’un cessez-le-feu, tant espéré par des Palestiniens écrasés par la violence meurtrière, l’injustice et le poids d’une colonisation et d’un apartheid d’un autre âge, et une partie du peuple israélien meurtri par l’instabilité permanente et la peur de la mort.
Fidèle à son référentiel de «Peacemaker» dans ce conflit pour la résolution duquel il s’est toujours investi, le Maroc, dont le Souverain, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, préside le Comité Al-Qods, a réagi de manière vigoureuse en appelant dans les termes les plus clairs «toutes les parties palestiniennes et israéliennes à donner une chance à la paix et à démontrer un engagement sincère et constructif, loin de toutes considérations conjoncturelles ou opportunistes». Cet appel se dresse contre les menaces et les discours hostiles, qui jettent de l’huile sur le feu, attisent les haines et alimentent des massacres toujours plus dévastateurs. La sincérité tant prônée par Rabat est la seule voie vers un vrai processus de paix, permettant l’établissement d’un Etat palestinien dans les frontières de 1967 avec Al-Qods Est comme capitale, vivant côte-à-côte et en paix avec Israël.